Le Deal du moment :
Pokémon EV06 : où acheter le Bundle Lot ...
Voir le deal

Partagez

 Ton bureau est à ton image (Morphée)

Odette Spellman
Membre
Odette Spellman
Âge et date de naissance : 28 ans
Métier/occupation : Chroniqueuse pour un journal sur le thème de l'amour, coach à ses heures perdues, mais surtout activiste dans une association pour les protection des femmes battues et violées.
Cible touchée par Cupidon : Mariée à l'Amour, Protectrice et Servante du Cœur des Femmes.

Ton bureau est à ton image  (Morphée) Tumblr_pwurtbJV4n1vuyb1zo2_540

Panthéon d'origine : Grec
Divinité incarnée : Aphrodite
Alliance : Indépendante, je suis surtout du côté de l'Amour
Pouvoir(s) : ϟ AMOKINESIE

Déchaîne la passion amoureuse par sa présence, au point d'inciter à l'adultère. Les âmes chastes y sont peu sensibles, les cœurs fidèles auront surtout envie de retrouver leur partenaire. L'effet dure quelques heures.


ϟ GUÉRISON DES CŒURS

Au contact (verbal ou physique) d'une personne, Aphrodite peut soulager voire guérir totalement les peines de cœur, ou les diverses afflictions empêchant une personne d'aimer.


ϟ BEAUTÉ IDÉAL

Aphrodite peut apparaître sous la plus belle apparence aux yeux des mortels qui la regardent. Ce pouvoir épuise son énergie, et nécessite autant d'heures de récupération que d'utilisation.
Point faible : ϟ LA DOULEUR DE L'AMOUR

Aphrodite défend l'Amour sous toutes ses formes : Amicales, Amoureuses et Familiales. Ressent de manière psychique les peines amicales et amoureuses autour d'elle. Les intentions extrêmes, comme la violence d'un amour destructeur, peuvent aller jusqu'à lui occasionner des souffrances physiques.

Ton bureau est à ton image  (Morphée) Tumblr_p3kvpbMRQW1u02rwko1_r1_500

Ton bureau est à ton image  (Morphée) Tumblr_p7lvw6IJYB1r213zbo7_250

« D’abord il y a le désir, puis la passion, ensuite le soupçon, la jalousie, la colère, la trahison, quand l’amour va au plus offrant la confiance est impossible, et sans la confiance il n’y a pas d’amour. La jalousie, oui, la jalousie… te rendra démon… ! » (Moulin Rouge), je t'Aime mon Aimé, mon Amour, j'espère qu'un jour tu finiras par comprendre et m'accepter telle que je suis


Faceclaim : Margot Robbie
Crédits : avengedinchains & tumblr
Tolérance aux sujets +18 :
  • Violence
  • Sexe
Multicompte(s) : Nop
Messages : 159
 Ton bureau est à ton image (Morphée)  Mer 25 Nov 2020 - 16:44

Aphrodite & Morphée
Au chevet de ma protégée, je la regarde se reposer. Son cœur est si torturé, si enclin à la dépression, si enclin à la Mort. Doucement, je passe ma main sur son visage, la caresse et chasse d'un geste, ce sentiment de détresse de son Cœur. L'Enfant dort, paisible, protégée en ces lieux. J'avais couru pour la sauver, j'avais couru pour la soutenir, mais son mari était arrivé au moment même où nous allions nous enfuir. Il l'a écrasé et allait continuer à le faire si je n'avais pas réussi à intervenir à temps. Mettant le corps blessé de la jeune femme sur les sièges arrières, j'ai pu réussir à me dépêcher pour foncer à l'hôpital. L'homme m'avait poursuivi. Mon Cœur a appelé Arès pour qu'il m'aide, pour qu'il me protège, avant d'appeler la police qui eux m'aidèrent plus que cet abruti de Dieu inutile. Foutu abruti qui promet monts et merveilles avant de disparaître comme le dernier des énormes connards, qui peuplent cette Terre. La police a pu arrêter ce taré et me ramener à temps. Les urgences ont pu traiter assez rapidement la jeune blessée qui perdait beaucoup de sang et connaissance. Je suis restée, à attendre que tout aille bien pour elle. L'enfant était seule, l'enfant était si seule ... mais j'étais là. Elle ne sera plus seule. Elle sera protégée. Lorsque les médecins me permirent de lui rendre visite, je l'ai béni en silence pour que son cœur guérisse et j'ai prié mes Frères et Sœurs pour qu'ils prennent soin d'elle désormais.

Sortant de la chambre, je marche dans le couloir et m'avance devant une porte et instinctivement, ma tête se tourne et mon regard se pose sur une porte et un écriteau. Je souris. Bien sûr, où avais-je la tête ? Je suis dans l'hôpital où travaille mon frère. Le cœur embué d'inquiétudes pour l'enfant, j'ouvre la porte. La secrétaire me voit, me reconnait et me souris. Je m'avance vers elle, fatiguée, épuisée « Bonjour, est-ce que Isaac est disponible s'il vous plait ? » la jeune femme me souris, hoche la tête, et m'annonce au téléphone à mon frère. Enfin, pour elle se sera mon ami. Bref. Je m'avance vers la porte pour l'ouvrir et retrouve Morphée, debout, dos à moi. Je ferme la porte et à peine la porte fermée que je fonce vers lui et à peine eut-il le temps de se retourner que je me fonds dans ses bras « Câlines moi mon doux Morphée. Câlines moi ... s'il te plait » supplie je.

Ma Malédiction ne me permet plus d'être aussi forte qu'avant. J'eusse été dans la chambre de l'enfant battue, lui prenant sa souffrance pour me l'administrer dans mon être, lui ôtant ainsi ses propres démons. Mais me voici désormais fragile et faible. Mais les nymphes m'ont ramené auprès de mon frère, mon cousin ou peut importe quel lien familial j'ai avec lui, pour moi, il reste mon frère. Human son adorable odeur, je gémis de tristesse et de douleur, le cœur brisé. Je suis fatiguée de cette vie, fatiguée de celle que je suis devenue. Mais je suis tellement heureuse de retrouver quelques membres de ma famille « Tu es toujours aussi beau » fis je d'un faible sourire. Je me hisse et lui dépose un adorable baisé sur la commissure de ses lèvres puis, pose ma tête sur son torse « Et tu sens toujours aussi bon » fis je, ronronnant, me laissant volontairement voguer dans son odeur et ses bras qui m'hypnotisent

code by EXORDIUM. | imgs by tumblr |


Revenir en haut Aller en bas
https://blasphemiae-deorum.forumactif.com/t1077-odette-la-ou-il- https://blasphemiae-deorum.forumactif.com/t1082-odette-deesse-de-l-amour-de-la-beaute-et-la-sexualite-pour-vous-servir#20317
Anonymous
Invité
 Re: Ton bureau est à ton image (Morphée)  Jeu 26 Nov 2020 - 12:20
|
Ton bureau est à ton image ;
Odette Spellman & Isaac Durinn







—  Il y avait des créatures divines plus connues que d’autres, celles qui rougissaient d’une notoriété intarissable et qui étaient encore aujourd’hui connus par divers mantras qui permettaient à ce qu’ils continuent d’exister. Aphrodite à l’amour qu’elle vouait et qu’elle partageait, Arès à la violence, Hermès au voleur et aux messages, Hadès au royaume des morts qu’il gouvernait avec une main de fer. Toi, tu prospérais par les rêves qui ne pouvaient être extraits des êtres humains, tu vivais par ce dicton que beaucoup chantaient et utilisaient parfois même à outrance sans imaginer qu’il existait véritablement un Morphée. Tu t’étais fais à cette idée, comme quoi, tu ne serais probablement jamais le plus connu de ton panthéon, et au final, tu devais bien avouer que ça t’arrangeait. Cette tranche d’anonymat t’avait permis de rester discret pendant une grande période de ta vie, t’avais permis de rester terré dans les profondeurs du Sanctum pour observer distraitement les humains avec cette curiosité qui était propre à ta créativité. L’un n’allant curieusement pas sans l’autre, finalement. Ton anonymat était également assez systémique de celui que tu avais vécu auprès de tes pairs, également. Si l’on soufflait sommeil et rêve, ton père était généralement celui que l’on murmurait le plus, bien plus reconnaissable. Et puis, il fallait avouer une chose : tu n’avais jamais été une créatures des plus sociales, préférant le calme des rêves que tu instillais à la frénésie des banquets divins d’un certain Dionysos. Finalement, tu y trouvais bien ton compte. Même au bras d’Hermès et dans le creux de ses bras, tu n’avais jamais véritablement souhaité te mêler plus que ça aux autres, préférant largement la délicatesse du calme que cette extase luxuriante des nectars divins qui proliféraient par magie. Toutefois, ça ne t’avait pas empêché de tisser des liens, notamment avec la déesse de l’amour, celle qui avait toujours eu le don de t’apaiser dans une certaine manière, par la douceur, par la protection et les bénédictions qu’elle dévoilait. C’était une de ces déesses jugées hâtivement liées à la luxure – et c’était probablement vrai, pendant un temps – mais qui servait essentiellement cet amour que tu nourrissais toi-même. Tu ne savais pas véritablement quel était votre lien de parenté, après tout… Les lignes étaient confuses au sein même de ce panthéon dysfonctionnel et qui nécessitait clairement plusieurs dizaines de milliers de thérapies pour régler tous les torts réels qui existaient entre vous, mais ça n’avait pas d’importance à tes yeux. Elle était une parente, et une de celle que tu étais toujours agréablement ravi de voir, que ce soit pour le travail que vous meniez en amont pour les femmes qui avaient besoin d’aide dans ce monde, ou pour des rendez-vous plus privés, plus personnels pour discuter de l’absence d’Hermès qui avait mis en branle votre monde à tous les deux. Même s’il était désormais de retour, ce n’était pas moins que vers Aphrodite que tu t’étais tourné quand la détresse s’était faite sentir sous tes pores, que tu avais eu cette impression indélicate que l’on t’arrachait une part de toi-même pour l’en jeter dans un puits sans fond. Entre autres indélicatesses liées à ton anxiété chronique et à l’angoisse de ton achluophobie, cette malédiction liée à ton incarnation, et profondément liée à ta propre mère, reine de la nuit, reine de tes cauchemars d’enfance. Toujours trop sensible, tu pensais alors que tu contemplais le pendule de Newton que tu venais d’activer à nouveau, les billes s’entrechoquant avec ce rythme qui avait curieusement l’art d’apaiser un peu tes consciences quand la mention de Nyx se faisait.

Tu allais notamment repartir dans la consultation d’un de tes nombreux dossiers – de ce travail qui ne désemplissait finalement jamais – quand le téléphone de ton bureau se mit à sonner. Tu quittas sans mal ton siège pour te présenter devant le conduit que tu pris avec cette même curiosité, malgré les années à l’utiliser, pour entendre la voix de ta secrétaire t’annonçant l’arrivée d’Odette Spellman. Aphrodite. Tu esquisses un léger sourire en reposant l’outil sur ton bureau, tes doigts venant faire s’arrêter le balancement de ton pendule alors que tu entends la porte s’ouvrir. Tu ne tardes pas à te retourner, ton corps se retrouvant soudainement en collision avec celui de la déesse qui semble être dans un état peu habituel pour celle à qui on attribue la douceur et l’amour. Tu enroules naturellement tes bras autour d’elle, à sa demande, appliquant la pression et la douceur nécessaires à ce que cette embrassade lui fasse le bien qu’elle est venue quérir dans tes bras. « Aphrodite ? » Tu demandes, la voix emprunte de cette inquiétude profondément sincère alors que tes doigts passent contre ses cheveux, y appliquant une caresse que tu souhaites réconfortante, du mieux que ton âme marquée par l’affection puisse le faire du moins. Tu ressens sans mal la détresse qui s’expies d’elle, et tes sourcils se froncent naturellement à ce qui s’échappent de ses lèvres, cette tristesse que tu ressens jusque dans tes propres os et qui te pousse à la serrer un peu plus fort contre toi avant de sourire à ses compliments, tes lèvres venant se poser contre son front. « Et tu es toujours aussi gracieuse et divine, douce Aphrodite. » Tu réponds finalement, avec un peu moins d’aisance pour les compliments qu’elle, mais avec cette pure volonté de lui exprimer la même douceur. Tu n’es certes pas de plus à l’aise avec les grandes déclarations d’affection et les compliments, mais quand ils s’échappent de tes lèvres, c’est avec toute l’honnêteté que tu es capable d’avoir en ton sein, toujours. Il n’y a, de toute façon, aucun intérêt à soupirer quelque chose qui n’est pas un tant soit peu honnête, même si tes patients seraient bien les premiers à te contredire à ce sujet, mais c’est leur perte. Un peu de la tienne, de ton temps, mais c’est ainsi que les choses se passent. Toutefois, tu ne peux pas rester aussi définitivement calme et indifférent de la situation qui se présente dans tes bras, et c’est avec une certaine réluctance que tu éloignes la jeune femme de tes bras pour que tes mains puissent se déposer avec délicatesse sur le visage de l’incarnation divine. « Qu’est-ce que cette tristesse que je perçois chez toi, Aphrodite ? » Tu demandes, la voix calme, sereine, douce, curieusement égale, loin des trémolos que l’on te sent pourtant quand l’inquiétude et l’angoisse te gagnent. « Qu’est-ce qui t’amènes à moi ? » Tu réitères, par curiosité mais surtout, et toujours, par inquiétude par cette déesse qui ne mérite nullement toute inquiétude et toute tristesse. Elle en a déjà bien assez vécue, à tes yeux. Mais la vie ne vous a jamais fait de cadeaux, à vous, les dieux, si ce n’est l’immortalité et les pouvoirs. Du reste, vous n’êtes pas si différents des humains, à plonger dans les obstacles et vous prendre les murs comme ils viennent.
(c) SIAL ; icon kawaiinekoj

Revenir en haut Aller en bas
Odette Spellman
Membre
Odette Spellman
Âge et date de naissance : 28 ans
Métier/occupation : Chroniqueuse pour un journal sur le thème de l'amour, coach à ses heures perdues, mais surtout activiste dans une association pour les protection des femmes battues et violées.
Cible touchée par Cupidon : Mariée à l'Amour, Protectrice et Servante du Cœur des Femmes.

Ton bureau est à ton image  (Morphée) Tumblr_pwurtbJV4n1vuyb1zo2_540

Panthéon d'origine : Grec
Divinité incarnée : Aphrodite
Alliance : Indépendante, je suis surtout du côté de l'Amour
Pouvoir(s) : ϟ AMOKINESIE

Déchaîne la passion amoureuse par sa présence, au point d'inciter à l'adultère. Les âmes chastes y sont peu sensibles, les cœurs fidèles auront surtout envie de retrouver leur partenaire. L'effet dure quelques heures.


ϟ GUÉRISON DES CŒURS

Au contact (verbal ou physique) d'une personne, Aphrodite peut soulager voire guérir totalement les peines de cœur, ou les diverses afflictions empêchant une personne d'aimer.


ϟ BEAUTÉ IDÉAL

Aphrodite peut apparaître sous la plus belle apparence aux yeux des mortels qui la regardent. Ce pouvoir épuise son énergie, et nécessite autant d'heures de récupération que d'utilisation.
Point faible : ϟ LA DOULEUR DE L'AMOUR

Aphrodite défend l'Amour sous toutes ses formes : Amicales, Amoureuses et Familiales. Ressent de manière psychique les peines amicales et amoureuses autour d'elle. Les intentions extrêmes, comme la violence d'un amour destructeur, peuvent aller jusqu'à lui occasionner des souffrances physiques.

Ton bureau est à ton image  (Morphée) Tumblr_p3kvpbMRQW1u02rwko1_r1_500

Ton bureau est à ton image  (Morphée) Tumblr_p7lvw6IJYB1r213zbo7_250

« D’abord il y a le désir, puis la passion, ensuite le soupçon, la jalousie, la colère, la trahison, quand l’amour va au plus offrant la confiance est impossible, et sans la confiance il n’y a pas d’amour. La jalousie, oui, la jalousie… te rendra démon… ! » (Moulin Rouge), je t'Aime mon Aimé, mon Amour, j'espère qu'un jour tu finiras par comprendre et m'accepter telle que je suis


Faceclaim : Margot Robbie
Crédits : avengedinchains & tumblr
Tolérance aux sujets +18 :
  • Violence
  • Sexe
Multicompte(s) : Nop
Messages : 159
 Re: Ton bureau est à ton image (Morphée)  Sam 28 Nov 2020 - 23:39

Aphrodite & Morphée
Être dans ses bras, sentir ses doigts dans mes cheveux, sentir son odeur. Être avec lui. Dans ses bras. Je crois que je donnerais ma place pour rien au monde. J'en peux plus de ma situation, j'en peux plus de mes pouvoirs devenus si faible, je suis devenue si faible et ça me frustre. Parce que si j'avais tous mes pouvoirs, mes protégées n'auraient aucunes craintes de m'avoir en protectrice, je saurais quand elles auraient mal et aucunes d'elles ne seraient dans un lit d'hôpital « J'veux retourner en arrière. J'veux notre famille » dis je en le serrant contre moi. Je repose ma tête sur son torse et je ferme les yeux, appréciant le câlin, appréciant ce geste rempli d'amour de Morphée. j'aime les câlins, c'est tellement vivifiant, tellement revigorant. Surtout quand ils sont agrémentés d'un baiser sur le front. Je souris, ravie, heureuse, le cœur désormais apaisé. Je relève la tête et souris « Mais toi aussi t'es beau ». Je lui souris, tandis qu'il s'éloigne doucement, ses mains se posent sur mon visage. Les miennes les rejoignent et je soupire, le cœur serré « Mes enfants me manquent » et ils me manquent atrocement. Mon cœur se serre en pensant à eux. A mes précieux enfants que j'ai enfanté, mes précieux enfants que j'ai aimé « Mais pas seulement ça, je suis fatiguée, épuisée et frustrée de ne plus être aussi puissante qu'avant. Voir mes protégée dans ces lits d'hôpitaux, entre la vie et la mort, ça me met ... je supporte pas de me sentir si impuissante et de ne rien pouvoir faire. Ces hommes ... ces pourritures, j'ai envie de les massacrer » fis je en rogne. Je m'enlève doucement de ses mains, après les avoir embrassé avec Amour. Je marche vers ses fenêtres les bras croisés « Je ne sais que faire ... je ne sais pas pourquoi je me suis réincarnée, il m'arrive de me demander si ça vaut la peine » mon coeur se brise. Dans mon fort intérieur, je sens Odette qui me câline et me dit que si, ma présence vaut le coup, elle permet de faire garder l'espoir en l'Amour, mais avec tout ce qu'il se passe, j'ai limite des doutes quand à tout ça

code by EXORDIUM. | imgs by tumblr |


Revenir en haut Aller en bas
https://blasphemiae-deorum.forumactif.com/t1077-odette-la-ou-il- https://blasphemiae-deorum.forumactif.com/t1082-odette-deesse-de-l-amour-de-la-beaute-et-la-sexualite-pour-vous-servir#20317
Anonymous
Invité
 Re: Ton bureau est à ton image (Morphée)  Lun 30 Nov 2020 - 10:12
|
Ton bureau est à ton image ;
Odette Spellman & Isaac Durinn







— De toutes les divinités, ta mère t’a toujours pensé être la plus sensible, curieusement attiré par les malheurs et les espoirs des autres, probablement dû à ton affinité avec les rêves qui étaient eux-mêmes tirés des espoirs et des malheurs des êtres que tu bénissais de tes songes. La peine des autres, leurs joies, leurs états d’âme t’impactaient, d’une certaine manière, assez directement quand tu les croisais dans leurs songes, mais depuis que tu avais pris forme dans cette incarnation, il n’était pas rare que tu en sois impacté aussi dans la réalité, conséquence directe de cette sensibilité lunaire exacerbée que tu portais sur ton dos comme Atlas portait la terre sur ses épaules. Tu ne pouvais, malheureusement, rien faire pour pouvoir apaiser les craintes de l’un et les peurs de l’autre, et c’était avec une certaine inquiétude que tu tenais Aphrodite dans tes bras, ressentant sans mal la peine qui coulait sous son épiderme. Tu étais quelque peu frustré de ne pouvoir comprendre ce qui la chagrinait autant, et à ses paroles, tu l’étais encore un peu plus, toi qui n’avait jamais véritablement été proche de cette famille dont elle parlait. L’Olympe, le panthéon du haut quand toi tu étais plus proche de l’Incarnation de la Nuit et du Sommeil, par le bas. Une famille brisée, désossée et dysfonctionnelle au possible, si tu devais être parfaitement honnête. Et tu n’étais pas particulièrement pressé de retrouver Nyx, si tu pouvais être honnête, contrairement à ton oncle ou ton père qui avaient encore ton affection. Toutefois, tu pouvais comprendre ses paroles et sa volonté, dans une certaine mesure, dans la façon dont tu ressentais le besoin de retrouver tes frères et tes sœurs, malgré l’impossibilité de tel vœu. De même, sa remarque sur ses enfants, tu ne la comprends qu’à moitié, toi qui n’a jamais eu de descendance divine, et qui n’avait jamais cherché à en avoir en réalité. Tu n’as jamais cherché à trouver un héritage dans une éventuelle descendance, tu n’as jamais cherché à propulser ton pouvoir ou plus dans les mains d’un autre être à l’essence divine. Ainsi, c’était peut-être encore une partie que tu ne pouvais tout bonnement pas comprendre. « N’as-tu pas déjà retrouvé des membres de la famille ? Et tes enfants ? Ils n’ont pas… Disparus ? » Tu demandes, la voix fragile et curieusement précautionneuse afin de ne pas blesser la déesse de l’amour. Tu ne voulais certainement pas abordé un sujet qu’elle ne souhaiterait pas divulgué ni même remuer un couteau dans une plaie encore béante, cherchant à cicatriser avec toute la peine du monde. Ce n’était absolument pas le but. Toutefois, la voix d’Aphrodite change de ton et ses paroles glissent avec bien plus de compréhension de ton côté. L’impuissance. C’était quelque chose que tu connaissais bien, ce manque de puissance pour aider les autres, pour pouvoir véritablement apprendre à aider les humains, et ceux qui étaient sous votre protection. Tu soupirais doucement. « C’est malheureusement notre sort. Mais ta fatigue se comprends. Toi, plus que quiconque, est au contact de ses fidèles et de ses protégés et… Ils ne sont pas tous dans l’état que tu aimerais les y voir. » Après tout, tu en avais déjà vu certains, attaqués par l’amour, détruit pour l’amour, au nom de cette chose si belle et pourtant si forte, tout en était incommensurablement fragile. L’énervement de la déesse était plus que légitime. Il y avait quelque chose de particulièrement frustrant et d’énervant dans le fait de ne pouvoir rien faire face à la peine, face à la tristesse de ses protégés. Tu en étais toi-même le spectateur, de cette tristesse sur laquelle tu n’avais aucun pouvoir, sur les cauchemars que tu ne pouvais pas toujours garder à distance. Tu penchas toutefois la tête à sa remarque avant de finir à ses côtés, laissant une de tes mains se poser contre son dos, dans une caresse que tu voulais rassurante au possible. « Voyons, Aphrodite… Bien évidemment que ça en vaut la peine. » Tu soufflas avec un léger sourire dirigé en sa direction. « Nous ne pouvons plus toucher les humains de la même manière qu’auparavant, avec autant de force et nous ne pouvons certainement pas tous les sauver mais… Ton incarnation a déjà fait bien plus de bien à de nombreuses jeunes femmes que dans l’état inverse. Nous sommes devenus curieusement plus mortels, moins… Divins dans nos actions, dans ce que nous pouvons faire mais… » Tu pris quelques infimes secondes pour réfléchir à la tournure de tes mots. « Mais ce n’est pas pour autant que ton travail n’a pas de sens et n’a pas d’impact. Au contraire. Tu as déjà tellement fait, Aphrodite. Je sais que c’est tentant de se torturer sur tout ce qu’on ne peut pas faire ou qu’on loupe mais… Concentre toi sur ce que tu as déjà réussis, tu verras que le jeu en vaut la chandelle. » Tu repris, avec ce petit sourire que tu voulais gonflé d’espoir. Parce que tu savais à quel point la déesse de l’Amour avait commencé et prolongé un début de changement particulièrement important dans ce monde. Elle n’était plus aussi puissante qu’auparavant, mais chaque personne qu’elle touchait de sa grâce… C’était une personne de moins qui sombrait et qui souffrait.
(c) SIAL ; icon kawaiinekoj


Revenir en haut Aller en bas
Odette Spellman
Membre
Odette Spellman
Âge et date de naissance : 28 ans
Métier/occupation : Chroniqueuse pour un journal sur le thème de l'amour, coach à ses heures perdues, mais surtout activiste dans une association pour les protection des femmes battues et violées.
Cible touchée par Cupidon : Mariée à l'Amour, Protectrice et Servante du Cœur des Femmes.

Ton bureau est à ton image  (Morphée) Tumblr_pwurtbJV4n1vuyb1zo2_540

Panthéon d'origine : Grec
Divinité incarnée : Aphrodite
Alliance : Indépendante, je suis surtout du côté de l'Amour
Pouvoir(s) : ϟ AMOKINESIE

Déchaîne la passion amoureuse par sa présence, au point d'inciter à l'adultère. Les âmes chastes y sont peu sensibles, les cœurs fidèles auront surtout envie de retrouver leur partenaire. L'effet dure quelques heures.


ϟ GUÉRISON DES CŒURS

Au contact (verbal ou physique) d'une personne, Aphrodite peut soulager voire guérir totalement les peines de cœur, ou les diverses afflictions empêchant une personne d'aimer.


ϟ BEAUTÉ IDÉAL

Aphrodite peut apparaître sous la plus belle apparence aux yeux des mortels qui la regardent. Ce pouvoir épuise son énergie, et nécessite autant d'heures de récupération que d'utilisation.
Point faible : ϟ LA DOULEUR DE L'AMOUR

Aphrodite défend l'Amour sous toutes ses formes : Amicales, Amoureuses et Familiales. Ressent de manière psychique les peines amicales et amoureuses autour d'elle. Les intentions extrêmes, comme la violence d'un amour destructeur, peuvent aller jusqu'à lui occasionner des souffrances physiques.

Ton bureau est à ton image  (Morphée) Tumblr_p3kvpbMRQW1u02rwko1_r1_500

Ton bureau est à ton image  (Morphée) Tumblr_p7lvw6IJYB1r213zbo7_250

« D’abord il y a le désir, puis la passion, ensuite le soupçon, la jalousie, la colère, la trahison, quand l’amour va au plus offrant la confiance est impossible, et sans la confiance il n’y a pas d’amour. La jalousie, oui, la jalousie… te rendra démon… ! » (Moulin Rouge), je t'Aime mon Aimé, mon Amour, j'espère qu'un jour tu finiras par comprendre et m'accepter telle que je suis


Faceclaim : Margot Robbie
Crédits : avengedinchains & tumblr
Tolérance aux sujets +18 :
  • Violence
  • Sexe
Multicompte(s) : Nop
Messages : 159
 Re: Ton bureau est à ton image (Morphée)  Jeu 24 Déc 2020 - 0:36

Aphrodite & Morphée
Cette étreinte n'était pas qu'une étreinte anodine, c'étair bien plus que cela et Morphée le sait. Cet Amour que l'on a l'un envers l'autre n'est pas un Amour anodin non plus. Je ressens son énergie, son Amour pour moi, son énergie, quelque chose qui me fait du bien et dont j'ai besoin. « Malheureusement non. Et ils me manquent terriblement.Et s'ils ont disparu, je n'en sais guère. Je souhaite tellement qu'ils n'aient pas disparus, qu'ils ne soient pas dans le slimbes, oubliés, perdus » fis je le coeur serré, le coeur vide, le coeur triste, la peur au ventre. J'aimerais retrouver chacun de mes enfants, de les serrer dans mes bras et leur dire ô combien je les aime. Je dois dire que je ne sais plus quoi faire. De plus, j'ai l'impression de n'être plus aussi mythique qu'avant, de n'être plus aussi puissante. Et pourtant ... je dois admettre que n'être plus au centre du monde m'a mise bien plus qu'une claque, ça m'a permis de voir plus de choses, de comprendre aussi les choses.De n'avoir été qu'écume, cela m'a permis de pouvoir réellement voir l'Amour sous toutes ses formes, sous toutes ses coutures, et d'être avec Odette, mon Ode à l'amour, cela me permet de mieux le ressentir, d'avoir plus d'ambition en l'Amour. Je souhaite tellement que l'Amour fasse place à la Haine, qu'avec Arès, nous pouvons nous unir réellement dans quelque chose de plus passionnel que le sang, la mort, la tristesse. Je ne sais pas si ce que je ressens ou si ce dont j'ai envie sont quelque chose de futile et d'inutile ou encore d'égoïste. Pui, parce que si l'Amour est au centre de tous et que j'ai plus de disciple, forcément, mes pouvoirs seront plus développés, forcément, je pourrais être plus puissante. Mais est-ce que j'en ai réellement envie ? Dans un sens oui, mais dans un autre ... j'ai un peu peur de redevenir la garce que je fus. J'étais une enfant stupide, je ne me rendais pas compte de mon réel impact envers les humains. Aujourd'hui, les choses ont changé et aujourd'hui, je suis déprimée, dans les bras de Morphée.Je me sens tellement impuissante et c'est si frustrant. Je suis frustrée et j'ai des sentiments de contradictions qui me rendent folle. Et tandis que je fais part de mes inquiétudes et de mes sentiments « J'ai l'impression que quoi que je fasse, ce n'est pas assez.IL y a bien une fois où j'ai enlevé une noirceur dans le coeur d'un soldat, un mercenaire. Cela m'a tellement épuisé et je ne pouvais rien faire d'autre, ça me frustre tellement de ne pas pouvoir faire comme avant. D'un rien, je pouvais tout arranger, désormais, arranger le coeur des humains m'épuisent » je soupire, attristée, vidée. Et puis, Morphée me regarde, avec ce regard adorable et doux. Attentioné, il me rempli le coeur de courage et de fierté. Je lui souris, posant ma main dans la sienne pour la serrer fortement dans la mienne, un sourire reconnaissant « Merci Morphée. J'ai tellement peur que ma présence ne sert à rien, que tout ce que je fais ne sert à rien mais ... tu as toujours les mots pour apaiser ...les coeurs d'une déesse comme moi » fis je avec un sourire amusé. Je me rapproche de lui pour une autre étreinte, une étreinte douce « Merci de toujours être celui que tu es » lui dis je en me détachant doucement de lui pour lui caresser tendrement la joue d'une main, un sourire reconnaissant et aimant aux lèvres. « Nous avons tous besoin d'un Morphée dans une famille » fis je en le lâchant et en soupirant « Et sinon ...as tu retrouvé d'autres de nos frères et soeurs ? » demande je avec intérêt. j'aimerais que nous pouvons tous nous réunir .... ensemble, comme avant.Enfin ... sauf certaines personnes n'est-ce pas ?
code by EXORDIUM. | imgs by tumblr |


Revenir en haut Aller en bas
https://blasphemiae-deorum.forumactif.com/t1077-odette-la-ou-il- https://blasphemiae-deorum.forumactif.com/t1082-odette-deesse-de-l-amour-de-la-beaute-et-la-sexualite-pour-vous-servir#20317
Contenu sponsorisé
 Re: Ton bureau est à ton image (Morphée) 
Revenir en haut Aller en bas

 Ton bureau est à ton image (Morphée)

Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» Mon humeur en image
» Éros - Le Dieu de l'amour ouvre son bureau pour les consultations!

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Blasphemiæ Deorum :: Coliseum :: Limbes :: Récits inachevés-
Sauter vers: