Âge et date de naissance : 34 ans d'apparence. Né un 16 août au 3e siècle avant J.C Métier/occupation : Généticien-consultant pour la police scientifique/Musicien dans un petit groupe celte à ses heures perdues Cible touchée par Cupidon : Si cupidon frappe les hommes, il est également capable de piquer les fesses des dieux et leur insufler l'amour. Mais à défaut d'en avoir vu de toutes les couleurs, il aura tendance à privilégier l'amusement plutôt qu'une loyauté qui pourrait se montrer oppressante.
Panthéon d'origine : Panceltique Divinité incarnée : Lugh : Dieu de la lumière aux multiples arts dit le Polytechnicien : maître des arts et des sciences, de la magie, de l'artisanat et des combats. Alliance : Indépendant, neutre. Pouvoir(s) :
Médecine Dioscurique:
La médecine qui rassemble tous les savoirs des médecines divines, druidiques, alchimiques, magiques, contemporaines, etc. Capable de rendre possible l’impossible sur un être vivant ou divin.
Polytechnie:
L’art et la manière de créer n’importe quoi à partir d’un brin de lumière créée par le Samildanach et d’un peu d’imagination de sa part pour que celle-ci prenne une forme réelle mais il ne s'agit en réalité que d'une projection holographique à type de rayonnement lumineux. Cependant, ce pouvoir n'a qu'une projection à la vue de son utilisateur. Lugh ne pourra pas projeter des illusions à un endroit qu'il ne voit pas. S'il se concentre suffisamment l'hologramme peut sembler si réaliste que ça peut jouer sur le subconscient si l'esprit est faible, mais s'il y a le moindre obstacle qui coupe la lumière entre son créateur et la cible, l'hologramme se déforme et Lugh perd sa concentration.
Clarté omnipotente:
En utilisant la réflexion de la lumière naturelle, son corps entre en résonance avec les particules lumineuses pour augmenter sa vélocité à la vitesse de la lumière. En revanche, son pouvoir l'épuise si la lumière est amoindrie. À l'inverse, plus il aura de lumière plus l'utilisation de sa vélocité lui sera aisée et il n'aura pas d'affaiblissement pour l'utiliser.
Point faible :
Ar-éabdair & Dagda:
Ar-éabdair ou Gea Assail est sa lance magique fétiche en bois d'If, dotée d’une conscience pour qui il voue une allégeance absolue, cependant, cette lance est capricieuse et le pousse parfois à agir contre sa volonté et de manière obscure. Ar-éabdair peut également détruire sa conscience et tout ce qui se trouve autour d’elle s’il ne la plonge pas dans le chaudron du Dadga rempli de sang. Actuellement, il a trouvé la combine en la gardant dans un pendentif -créé exprès-; petite pointe d'or enfermée dans le chaudron miniaturisé en petite capsule de verre contenant du sang camouflé en un liquide carmin aux paillettes d’or. Tant qu’il l’a autour du cou, il ne risque rien, ni aucune destruction massive de cette lance capricieuse.
De plus, il est extrêmement sensible aux arts, dont la musique, et possède une oreille absolue, la moindre fausse note le dérange énormément et a tendance à le rendre instable au point d’en avoir des migraines et parfois des nausées. Il est également allergique à la connerie et déteste le langage grossier.
Yule est une fête importante pour nous. C’est pourquoi j’avais proposé à Aengus et les membres de mon groupe de passer un moment ensemble pour le début du solstice d’hiver, afin de le fêter ensemble. De pouvoir, d’une certaine manière, permettre aussi à mes croyants les plus proches, de profiter de cette nuit en présence d’un dieu, en l’occurrence moi. Lugus, dieu roi panceltique. J’avais donné rendez-vous pour le coucher de soleil -aux alentours de seize heures- à l’orée du bois proche de la ville de Philadelphie. J’avais loué une maison pouvant accueillir treize personnes afin que nous puissions profiter ensemble de ce moment. Et ça ne se passerait absolument pas comme la communauté des usurpateurs. On allait faire ça dans les règles.
C’est une fois tout le petit monde arrivé, Alexander et sa petite amie Nina, Frederick, Michael, Salvatore et sa chérie Caroll ainsi qu’Aengus, accompagnée de Keith que nous pouvions commencer la soirée. Gaby n’a pas pu venir, occupé sur une autre soirée, comme il est ingénieur son, il ne l'est pas seulement pour notre groupe. Hormis Keith, tous les gens qui sont présents ce soir sont au courant de qui je suis réellement. La seule chose que j’ai demandé à mes comparses avant qu’Aengus et Keith ne débarquent, c’est de ne pas en parler ouvertement, que je suis un dieu. La seule restriction que je leur demande. Alors, une fois tout ce beau monde arrivé et les salutations/présentations de tous faites, nous pouvions commencer à aller en forêt pour aller chercher du gui pour le rituel de renouveau. Le gui est quelque chose de symbolique pour nous, ainsi que pour les druides. Aengus savait très bien de quoi il en retournait, tout comme les membres du groupe avec qui je faisais ça tous les ans depuis que je les connaissais et qu’ils connaissaient mon identité.
Donc, la cueillette du Gui se fait de façon cérémoniale, et seuls Alexander, Aengus et Caroll qui étaient assez aux faits des coutumes ramassaient le Gui. Les autres avaient également leur tâche pour plus tard, ils étaient restés à la location pour s’occuper des décorations et du placement des bougies et de préparer le repas. Le temps est frais, et la neige est peu abondante mais présente. Le temps est même assez gris, donnant un ciel blanc, signe qu’il neigera dans la nuit ou la soirée. Une bonne chose je dirais. Keith nous avait accompagné, je pense qu’il ne voulait pas rester seul, ou laisser seule Aengus en ma présence. Si besoin d’explications sur la cérémonie de récolte du Gui pour Keith, je me faisais un plaisir de le lui expliquer, non sans entendre un grognement et sentir un regard noir sur moi de la part d’Aengus.
Durant cette période, Aengus se sentait redevenir enfant. La cueillette du gui demeurait une coutume bien particulière qu’elle avait pour habitude de passer avec sa mère et Dagda. Qu’importe ce que le monde avait tenté d’effacer après la mort de Brigitte, le dieu druide avait toujours été là à la cueillette du gui.
Aujourd’hui, Lugh se trouvait sur son flanc droit et pourtant, la brune passait son temps à jeter un regard par-dessus son épaule. On aurait pu croire qu’elle observait Keith, un brin paumé parmi la diversité de la forêt. En réalité, elle espérait, avec un brin de culpabilité, sentir la présence du dieu druide.
« Hum ? »
Elle aimait Lugh, comme toute fidèle et croyante qu’elle était. Mais leur histoire débutait, au moins pour elle.
« Oh, euh, oui oui. » Un sourire s’offrit au divin avec bon cœur. Ca serait mentir que d’affirmer qu’elle n’était pas contente d’être ici. « Je pensais que Varnelin serait ici, avec nous. » Il ne lui manquait pas mais elle supposait qu’il pouvait manquer à Lugh, ayant bien remarqué leur proximité. En l’espace d’une seconde, s’imaginer ce manque chez Lugh pulvérisa sa propre poitrine, réveillant l’absence de ses proches. Rapidement balayée, l’irlandaise respira profondément.
Âge et date de naissance : 34 ans d'apparence. Né un 16 août au 3e siècle avant J.C Métier/occupation : Généticien-consultant pour la police scientifique/Musicien dans un petit groupe celte à ses heures perdues Cible touchée par Cupidon : Si cupidon frappe les hommes, il est également capable de piquer les fesses des dieux et leur insufler l'amour. Mais à défaut d'en avoir vu de toutes les couleurs, il aura tendance à privilégier l'amusement plutôt qu'une loyauté qui pourrait se montrer oppressante.
Panthéon d'origine : Panceltique Divinité incarnée : Lugh : Dieu de la lumière aux multiples arts dit le Polytechnicien : maître des arts et des sciences, de la magie, de l'artisanat et des combats. Alliance : Indépendant, neutre. Pouvoir(s) :
Médecine Dioscurique:
La médecine qui rassemble tous les savoirs des médecines divines, druidiques, alchimiques, magiques, contemporaines, etc. Capable de rendre possible l’impossible sur un être vivant ou divin.
Polytechnie:
L’art et la manière de créer n’importe quoi à partir d’un brin de lumière créée par le Samildanach et d’un peu d’imagination de sa part pour que celle-ci prenne une forme réelle mais il ne s'agit en réalité que d'une projection holographique à type de rayonnement lumineux. Cependant, ce pouvoir n'a qu'une projection à la vue de son utilisateur. Lugh ne pourra pas projeter des illusions à un endroit qu'il ne voit pas. S'il se concentre suffisamment l'hologramme peut sembler si réaliste que ça peut jouer sur le subconscient si l'esprit est faible, mais s'il y a le moindre obstacle qui coupe la lumière entre son créateur et la cible, l'hologramme se déforme et Lugh perd sa concentration.
Clarté omnipotente:
En utilisant la réflexion de la lumière naturelle, son corps entre en résonance avec les particules lumineuses pour augmenter sa vélocité à la vitesse de la lumière. En revanche, son pouvoir l'épuise si la lumière est amoindrie. À l'inverse, plus il aura de lumière plus l'utilisation de sa vélocité lui sera aisée et il n'aura pas d'affaiblissement pour l'utiliser.
Point faible :
Ar-éabdair & Dagda:
Ar-éabdair ou Gea Assail est sa lance magique fétiche en bois d'If, dotée d’une conscience pour qui il voue une allégeance absolue, cependant, cette lance est capricieuse et le pousse parfois à agir contre sa volonté et de manière obscure. Ar-éabdair peut également détruire sa conscience et tout ce qui se trouve autour d’elle s’il ne la plonge pas dans le chaudron du Dadga rempli de sang. Actuellement, il a trouvé la combine en la gardant dans un pendentif -créé exprès-; petite pointe d'or enfermée dans le chaudron miniaturisé en petite capsule de verre contenant du sang camouflé en un liquide carmin aux paillettes d’or. Tant qu’il l’a autour du cou, il ne risque rien, ni aucune destruction massive de cette lance capricieuse.
De plus, il est extrêmement sensible aux arts, dont la musique, et possède une oreille absolue, la moindre fausse note le dérange énormément et a tendance à le rendre instable au point d’en avoir des migraines et parfois des nausées. Il est également allergique à la connerie et déteste le langage grossier.
Un regard accompagné d'un haussement de sourcils. Aengus me paraissait étrange à jeter des coup d'oeils dans notre direction. Je zieutais un peu Keith. Puis à la réponse de la miss je m'approchais d'elle.
«Varnelin? Ha ! Tu parles de Vvärneleen? Non... Yule on le fête ensemble le 25 décembre.» Le moment où les germes commencent à prendre. «Je lui apporte un cadeau pour Neue Helle. Nous fêtons le renouveau de la clarté plus en privé.» Je le sais jaloux, et il préfère profiter de ma présence personnellement sans avoir du monde autour. Puis... Un de ces jours peut-être que nous partagerons tout ces moments tous ensemble, Aengus, lui, les autres et moi. Vvärn est assez particulier mais il y a bien une chose qu'il aime, c'est fêter Noël -Neue Helle- parce-qu'il a gardé ça depuis bien avant sa création en tant que Disciple. Et pour lui c'est une fête qui lui donne beaucoup de bonheur. Mais c'est étrange, j'ai la nostalgie et un lourd pincement au coeur. Un sentiment de solitude et d'abandon me traverse. Alors, je comprends bien vite dans l'inspiration profonde d'Aengus que ces sentiments lui appartiennent. Je m'approche un peu plus d'elle, récupère avec délicatesse une branche de Gui, puis je la lui présente.
«Est-ce que tu sais pourquoi on Ramasse du Gui de façon cérémonieuse Aengus?»
Je la regarde, puis fais tourner ma tige dont les feuilles tournent et retournent. Je regarde Keith et lui fais signe d'approcher pour écouter.
Pour Keith, tout était bien étrange dans cette histoire. Il comprenait pourquoi Aengus et lui continuaient à se voir puisqu'ils s'aimaient. Mais il ne saisissait pas pourquoi Aengus et Kendall célébraient ensemble une fête proche de Noël. Alors quand le musicien annonça passer Noël, il fut perdu.
"Je croyais qu'on fêtait pas Noël."
Le regard d'Aengus bascula de son petit ami à la branche que ramassait Lugh alors que Keith s'arrêtait au niveau de sa brunette pour poser délicatement une main sur son dos. Aussitôt, l'irlandaise eut un léger sourire rapidement suivi d'une déferlante de chaleur dans sa poitrine. La sensation demeurait plutôt agréable et réconfortante mais elle ne pouvait exploser de la sorte.
"Pour marquer la renaissance ?" Tenta de se reprendre Aengus, pas certaine d'avoir réellement saisi la question.
Elle connaissait la symbolique du gui, du solstice mais pourquoi il fallait le faire cérémonieusement, ça, elle n'en savait rien. Elle avait toujours pensée qu'il le fallait pour respecter le protocole, pour parfaitement communiquer avec un dieu.
"Quelle renaissance ? " S'interrogea Keith en regardant autour de lui dépité. "Y a rien, sur les arbres ! Il ne manque plus que la horde de zombie tellement c'est déprimant !"
Âge et date de naissance : 34 ans d'apparence. Né un 16 août au 3e siècle avant J.C Métier/occupation : Généticien-consultant pour la police scientifique/Musicien dans un petit groupe celte à ses heures perdues Cible touchée par Cupidon : Si cupidon frappe les hommes, il est également capable de piquer les fesses des dieux et leur insufler l'amour. Mais à défaut d'en avoir vu de toutes les couleurs, il aura tendance à privilégier l'amusement plutôt qu'une loyauté qui pourrait se montrer oppressante.
Panthéon d'origine : Panceltique Divinité incarnée : Lugh : Dieu de la lumière aux multiples arts dit le Polytechnicien : maître des arts et des sciences, de la magie, de l'artisanat et des combats. Alliance : Indépendant, neutre. Pouvoir(s) :
Médecine Dioscurique:
La médecine qui rassemble tous les savoirs des médecines divines, druidiques, alchimiques, magiques, contemporaines, etc. Capable de rendre possible l’impossible sur un être vivant ou divin.
Polytechnie:
L’art et la manière de créer n’importe quoi à partir d’un brin de lumière créée par le Samildanach et d’un peu d’imagination de sa part pour que celle-ci prenne une forme réelle mais il ne s'agit en réalité que d'une projection holographique à type de rayonnement lumineux. Cependant, ce pouvoir n'a qu'une projection à la vue de son utilisateur. Lugh ne pourra pas projeter des illusions à un endroit qu'il ne voit pas. S'il se concentre suffisamment l'hologramme peut sembler si réaliste que ça peut jouer sur le subconscient si l'esprit est faible, mais s'il y a le moindre obstacle qui coupe la lumière entre son créateur et la cible, l'hologramme se déforme et Lugh perd sa concentration.
Clarté omnipotente:
En utilisant la réflexion de la lumière naturelle, son corps entre en résonance avec les particules lumineuses pour augmenter sa vélocité à la vitesse de la lumière. En revanche, son pouvoir l'épuise si la lumière est amoindrie. À l'inverse, plus il aura de lumière plus l'utilisation de sa vélocité lui sera aisée et il n'aura pas d'affaiblissement pour l'utiliser.
Point faible :
Ar-éabdair & Dagda:
Ar-éabdair ou Gea Assail est sa lance magique fétiche en bois d'If, dotée d’une conscience pour qui il voue une allégeance absolue, cependant, cette lance est capricieuse et le pousse parfois à agir contre sa volonté et de manière obscure. Ar-éabdair peut également détruire sa conscience et tout ce qui se trouve autour d’elle s’il ne la plonge pas dans le chaudron du Dadga rempli de sang. Actuellement, il a trouvé la combine en la gardant dans un pendentif -créé exprès-; petite pointe d'or enfermée dans le chaudron miniaturisé en petite capsule de verre contenant du sang camouflé en un liquide carmin aux paillettes d’or. Tant qu’il l’a autour du cou, il ne risque rien, ni aucune destruction massive de cette lance capricieuse.
De plus, il est extrêmement sensible aux arts, dont la musique, et possède une oreille absolue, la moindre fausse note le dérange énormément et a tendance à le rendre instable au point d’en avoir des migraines et parfois des nausées. Il est également allergique à la connerie et déteste le langage grossier.
Je jette un regard sur Keith. Calme, imperturbable, puis le reprend.
«Neue Helle, de l’allemand « Nouvelle clarté ». Tout en sachant que Noël est issu de ces termes germaniques. Ce n’est qu’une représentation plagiée et détournée que le christianisme s’est accaparé d’autre religions déjà existantes au final.»
Explication donnée, je me tournais ensuite vers Aengus pour écouter sa réponse à ma question tantôt. Un petit sourire étira la commissure de mes lèvres tandis qu’avec la brindille de gui je venais lui poker le bout du nez et lui répondre, tout en la regardant avec une attention paternelle et tendre.
«La renaissance, oui, mais pas que…» Je baissais la main après l’avoir pokée puis m’exprimais de nouveau. «Le gui est récolté par les Druides parce qu’à cette période ils fleurissent, c’est un symbole d’immortalité, de vigueur et de régénération physique. Il possède également beaucoup de denrées médicinales afin de soigner beaucoup de maux. C’est pourquoi la cueillette est importante à cette période précise de l’année. Il a également des propriétés magiques. C’est pourquoi il faut bien choisir les branches, le sens, l’arbre porteur et l’orientation sur l’arbre.»
Je tourne la tête vers Keith et esquisse un sourire franc. Pas amusé, mais plutôt réjoui. Pour être franc, j’aime tous les passages de saison, mais principalement l’hiver. «Keith, il faut voir plus loin que ça. Quand tu bronzes, à un moment tu perds ta peau, tu pèles. C’est parce que ton derme se régénère, pour laisser place à une peau toute neuve. La forêt perd ses feuilles, les seuls qui font montre d’éternité en ce sens sont les sapins qui perdent à minima leurs épines. Ou le gui et le houx qui fleurissent et donnent des fruits en cette saison. Même si certains arbres perdent leurs ramures en cette période, ils se parent, le moment venu d’un tout nouveau et revigorant feuillage. On appelle ça la renaissance. Mais c’est une façon spirituel de préparer ce passage aussi bien pour les hommes que pour la nature.»
Alexander et Caroll revenaient avec leur petite besace pleine. Alex leva sa serpe avec le sac au bout de son poignet en me regardant avec un grand sourire. ─On a notre récolte de gui.
J’avise Caroll et Alex et hoche la tête, observant Aengus, puis ma propre besace. Un hochement de tête assigna mon contentement.
«On en a assez. On peut rentrer et rejoindre les autres…»
J'ouvrais la marche pour le chemin du retour. La nuit commençait à bien tomber et depuis le temps que je n'avais pas vu Caroll, il fallait bien que la demoiselle fasse la conversation, puis me questionne un peu sur Aengus et Keith, tout en leur posant des questions.
"Comment vous avez rencontré Kendall? Ça fait longtemps que vous vous connaissez?"
Aengus écoutait avec attention. Les leçons d'un dieu ne pouvaient être prises à la légère. Mais Keith, lui, battait des cils comme un élève devant un cours de mathématique trop compliqué. Il se contenta de regarder sa main comme pour observer sa peau tomber.
Il ne prenait pas le tout au sens propre du terme, seulement, il s'interrogeait sur cet aspect de cycle. Toute sa vie avait baigné dans la croyance que le monde n'était qu'une ligne et non un cercle, que l'on avançait vers la fin, inéluctablement.
"Oh bravo !" S'exclama Keith lorsque le groupe revenait près d'eux avec le sac chargé de gui. Aengus, elle, jeta un regard à Kendall comme pour tenter de cerner plus en détail son état d'esprit. Ca n'avait rien de simple en réalité alors qu'elle, elle avait toujours été très fine pour cerner les gens. Kendall n'était comme les autres, puisqu'il était divin.
Rebroussant chemin, la brune écoutait attentivement les conversations, observatrice fine.
"Non." Répondit simplement la jeune femme à la question qui lui était posée. Keith lui donna un petit coup de coude comme pour lui faire remarquer que sa réponse manquait de corps. "Oh... euh, à un concert. "
Jetant un coup d'oeil à Keith, elle lui adressa un grand sourire pour savoir si elle avait été assez sociable. Le pompier, discrètement, soupira mi-blasé, mi-amusé avant de poursuivre pour donner le change.
"Une amie à nous est fan du groupe, vraiment très fan...Et si j'ai bien compris en gentleman, Kendall s'est proposé d'aider Aengus à raccompagner cette amie qui avait trop bu pour se donner du courage afin d'aborder Kendall. Et vous, comment tout ça a commencé ? "
Âge et date de naissance : 34 ans d'apparence. Né un 16 août au 3e siècle avant J.C Métier/occupation : Généticien-consultant pour la police scientifique/Musicien dans un petit groupe celte à ses heures perdues Cible touchée par Cupidon : Si cupidon frappe les hommes, il est également capable de piquer les fesses des dieux et leur insufler l'amour. Mais à défaut d'en avoir vu de toutes les couleurs, il aura tendance à privilégier l'amusement plutôt qu'une loyauté qui pourrait se montrer oppressante.
Panthéon d'origine : Panceltique Divinité incarnée : Lugh : Dieu de la lumière aux multiples arts dit le Polytechnicien : maître des arts et des sciences, de la magie, de l'artisanat et des combats. Alliance : Indépendant, neutre. Pouvoir(s) :
Médecine Dioscurique:
La médecine qui rassemble tous les savoirs des médecines divines, druidiques, alchimiques, magiques, contemporaines, etc. Capable de rendre possible l’impossible sur un être vivant ou divin.
Polytechnie:
L’art et la manière de créer n’importe quoi à partir d’un brin de lumière créée par le Samildanach et d’un peu d’imagination de sa part pour que celle-ci prenne une forme réelle mais il ne s'agit en réalité que d'une projection holographique à type de rayonnement lumineux. Cependant, ce pouvoir n'a qu'une projection à la vue de son utilisateur. Lugh ne pourra pas projeter des illusions à un endroit qu'il ne voit pas. S'il se concentre suffisamment l'hologramme peut sembler si réaliste que ça peut jouer sur le subconscient si l'esprit est faible, mais s'il y a le moindre obstacle qui coupe la lumière entre son créateur et la cible, l'hologramme se déforme et Lugh perd sa concentration.
Clarté omnipotente:
En utilisant la réflexion de la lumière naturelle, son corps entre en résonance avec les particules lumineuses pour augmenter sa vélocité à la vitesse de la lumière. En revanche, son pouvoir l'épuise si la lumière est amoindrie. À l'inverse, plus il aura de lumière plus l'utilisation de sa vélocité lui sera aisée et il n'aura pas d'affaiblissement pour l'utiliser.
Point faible :
Ar-éabdair & Dagda:
Ar-éabdair ou Gea Assail est sa lance magique fétiche en bois d'If, dotée d’une conscience pour qui il voue une allégeance absolue, cependant, cette lance est capricieuse et le pousse parfois à agir contre sa volonté et de manière obscure. Ar-éabdair peut également détruire sa conscience et tout ce qui se trouve autour d’elle s’il ne la plonge pas dans le chaudron du Dadga rempli de sang. Actuellement, il a trouvé la combine en la gardant dans un pendentif -créé exprès-; petite pointe d'or enfermée dans le chaudron miniaturisé en petite capsule de verre contenant du sang camouflé en un liquide carmin aux paillettes d’or. Tant qu’il l’a autour du cou, il ne risque rien, ni aucune destruction massive de cette lance capricieuse.
De plus, il est extrêmement sensible aux arts, dont la musique, et possède une oreille absolue, la moindre fausse note le dérange énormément et a tendance à le rendre instable au point d’en avoir des migraines et parfois des nausées. Il est également allergique à la connerie et déteste le langage grossier.
Aengus semblait étrange. Et en même temps, peut-être un peu trop peu loquace. Chose que Keith aussi remarquait, tentant, comme à son habitude de faire en sorte que la conversation soit un peu plus agréable. Nous rentrâmes tous à l’intérieur au moment où Keith termina son explication sur comment nous nous étions rencontrés. Rien à redire de plus en sa présence, il avait bien résumé. La question de Keith en revanche fut accueillie par Alexander qui me devança.
─On cherchait un manager, quelqu’un qui pourrait nous aider à nous faire connaître autrement que sur les réseaux sociaux. Histoire de pouvoir faire des concerts, des petites virées pour voir les fans. Puis,On a lancé une annonce, et Caroll a débarqué avec Kendall le lendemain. Quand il nous a montré son intérêt et sa passion pour la musique, ainsi que ses talents, on a très vite été très impressionné, et on s’est dit que ce serait dommage qu’il ne participe pas non plus en tant que musicien.
«Je reste manager avant tout, et je les aide aussi à créer certains morceaux, ou à faire en sorte qu’ils s’améliorent dans leur jeu. C’est un travail de longue haleine. Et puis, ça doit faire bien sept ou huit ans qu’on se connaît maintenant.»
"C’est ça ! en plus, Kendall joue vraiment comme un dieu !" Dit Caroll avec un petit clin d’œil à Keith. J’arbore un sourire amusé, tandis que nous commençons à revenir vers les autres. Ça sentait drôlement bon en tout cas dans la maison, la décoration était même complètement terminée et l’ambiance était chaude et conviviale. Chacun s’occupait de quelques tâches ci et là tout en papotant entre eux. Tandis que je récupérais la cueillette de gui que nous avions faite pour faire un charme, une couronne afin de protéger la maison. Et dans les coutumes. Le reste, je me le gardais pour faire quelqu’autres remèdes. Ce qui me serait utile pour plus tard. J’étais donc dans le salon tranquillement assit à faire ma couronne. Observant les jeunes entre eux. Moi un peu plus en retrait, mais pas non plus fermé à ce qui se passait où à une quelconque conversation.
Aengus tentait tant bien que mal de s'intégrer avec le reste du groupe. Keith, particulièrement attentionné, se montrait d'une aide et d'un soutien inconditionnel envers sa blonde. Lentement, l'irlandaise d'origine prenait ses marques.
Nina s'était éclipsée pour prendre la salle de bain et se préparer pour la soirée. Chacun aurait son tour. De retour après plus de trois quarts d'heure, elle revînt pomponnée et jolie.
Après un sourire gène à son petit ami, elle se dirigea vers Kendall. Le rose sur ses joues annonçait une certaine gêne. Se penchant vers Kendall, elle lui demanda s'il était possible de lui parler dans la cuisine, lieu déserté pour l'occasion.
Une fois sur place, elle expliqua au dieu qu'elle avait fait tomber la trousse de toilette d'Aengus dans la salle de bain et qu'elle avait fait rouler une trousse de maquillage sous un des lavabos. En voulant la ramasser, elle avait marché sur un autre objet tombé par terre. Pour toute explication, elle présenta une petite boite de chewing gum, trop cassé pour être refermé. Elle ne contenait pas de dragué à mâcher. Le contenu, pour des amateurs plus habitués à voir des drogues que des médicaments, ne pouvait être que de la drogue. Et quand bien même le tout n'était que des médicaments, elle n'osait pas mettre Aengus devant le fait accompli sans créer un malaise potentiellement dérangeant pour le reste de la soirée.
"Je suis désolée." Finit-elle tout simplement sans trop oser regarder le divin.
Âge et date de naissance : 34 ans d'apparence. Né un 16 août au 3e siècle avant J.C Métier/occupation : Généticien-consultant pour la police scientifique/Musicien dans un petit groupe celte à ses heures perdues Cible touchée par Cupidon : Si cupidon frappe les hommes, il est également capable de piquer les fesses des dieux et leur insufler l'amour. Mais à défaut d'en avoir vu de toutes les couleurs, il aura tendance à privilégier l'amusement plutôt qu'une loyauté qui pourrait se montrer oppressante.
Panthéon d'origine : Panceltique Divinité incarnée : Lugh : Dieu de la lumière aux multiples arts dit le Polytechnicien : maître des arts et des sciences, de la magie, de l'artisanat et des combats. Alliance : Indépendant, neutre. Pouvoir(s) :
Médecine Dioscurique:
La médecine qui rassemble tous les savoirs des médecines divines, druidiques, alchimiques, magiques, contemporaines, etc. Capable de rendre possible l’impossible sur un être vivant ou divin.
Polytechnie:
L’art et la manière de créer n’importe quoi à partir d’un brin de lumière créée par le Samildanach et d’un peu d’imagination de sa part pour que celle-ci prenne une forme réelle mais il ne s'agit en réalité que d'une projection holographique à type de rayonnement lumineux. Cependant, ce pouvoir n'a qu'une projection à la vue de son utilisateur. Lugh ne pourra pas projeter des illusions à un endroit qu'il ne voit pas. S'il se concentre suffisamment l'hologramme peut sembler si réaliste que ça peut jouer sur le subconscient si l'esprit est faible, mais s'il y a le moindre obstacle qui coupe la lumière entre son créateur et la cible, l'hologramme se déforme et Lugh perd sa concentration.
Clarté omnipotente:
En utilisant la réflexion de la lumière naturelle, son corps entre en résonance avec les particules lumineuses pour augmenter sa vélocité à la vitesse de la lumière. En revanche, son pouvoir l'épuise si la lumière est amoindrie. À l'inverse, plus il aura de lumière plus l'utilisation de sa vélocité lui sera aisée et il n'aura pas d'affaiblissement pour l'utiliser.
Point faible :
Ar-éabdair & Dagda:
Ar-éabdair ou Gea Assail est sa lance magique fétiche en bois d'If, dotée d’une conscience pour qui il voue une allégeance absolue, cependant, cette lance est capricieuse et le pousse parfois à agir contre sa volonté et de manière obscure. Ar-éabdair peut également détruire sa conscience et tout ce qui se trouve autour d’elle s’il ne la plonge pas dans le chaudron du Dadga rempli de sang. Actuellement, il a trouvé la combine en la gardant dans un pendentif -créé exprès-; petite pointe d'or enfermée dans le chaudron miniaturisé en petite capsule de verre contenant du sang camouflé en un liquide carmin aux paillettes d’or. Tant qu’il l’a autour du cou, il ne risque rien, ni aucune destruction massive de cette lance capricieuse.
De plus, il est extrêmement sensible aux arts, dont la musique, et possède une oreille absolue, la moindre fausse note le dérange énormément et a tendance à le rendre instable au point d’en avoir des migraines et parfois des nausées. Il est également allergique à la connerie et déteste le langage grossier.
Après les préparations de la couronne faites, celle-ci installée devant la porte de la bâtisse avec les rites suffisants pour protéger la maison. Je retournais à l’intérieur et discutais avec le petit monde tranquillement. Me proposant pour faire le service des boissons et des différents amuse-bouche que les autres avaient préparés pour finalement être sommé de rester à ma place. Ce fut Fred et Salvatore qui se hâtaient à la tâche pour tout le monde. Nina parti se pomponner le temps que le tout soit servi avant de passer au repas. Puis ce n’est que trois quart d’heure plus tard, tandis que nous débâtions sur la raison de mettre de l’ananas sur une pizza -que certains trouvaient ça immonde ceci-dit- contrairement à d’autres qui avaient bien évidemment l’avis contraire. Je ne me prononçais pas, parce que je n’aimais pas la pizza, et même après avoir gouté celle avec de l’ananas je n’avais pas apprécié non plus. Et, on ne pouvait critiquer les goûts de tout un chacun. Chacun était libre d’aimer comme il l’entendait. Mon regard déviait sur Keith et Aengus par moments, blottis l’un contre l’autre. Pas par jalousie, je les trouvais mignons entre eux, plus par… gêne. Me remémorer avec difficulté ce qui avait pu se passer entre Keith et moi me procurait un profond malaise. J’avais honte, honte d’avoir bafoué autant Aengus et par la même occasion Morrigan.
Nina revint, et demanda à me voir en cuisine, lieu déserté depuis quelques minutes déjà. Alors, écoutant ce qu’elle avait à dire, je croisais les bras contre moi et fronçais les sourcils pour constater l’accident qui s’était produit dans la salle de bain. Quand elle me tendit l’objet brisé, je récupérais la boîte et pris une gélule du contenu et constatait qu’il s’agissait de médicaments. Autant dire qu’un froncement de sourcils plus prononcé et d’une mine plus renfrognée accueillirent la nouvelle. Je regardais Nina en lui expliquant qu’elle devait s’excuser auprès d’Aengus et lui expliquer ce qui s’était passé avec sa trousse de maquillage. Si bien que je la laissais attendre dans la cuisine tandis que je revenais dans le salon pour appeler Aengus et lui dire de venir voir. Quand nous fûmes tous les trois réunis, je la regardais avec calme et sérieux. Cachant la boite que je tenais contre moi, les bras croisés contre moi.
«Nina a quelque chose à te dire. Le plus sage est que ce soit elle qui te le dise plutôt que de passer par une tierce personne.»
Chose qui se fit. Nina s’expliqua avant de s’excuser en grimaçant. Parce que s’excuser envers moi ne servait à rien. Ce n’était pas mes affaires qu’on avait cassées. Donc il était légitime que la fautive s’excuse auprès de la concernée. Une fois les excuses faites. Je demandais à Nina de sortir et de nous laisser tous les deux. Une fois hors de vue, je m’approchais d’Aengus et lui tendais la boite de chewing-gum complètement inutilisable.
«Ces médicaments, de quoi il s’agit ? C’est de ça dont parlait Keith le soir du repas avec les organisateurs celtes ?»
Ca remonte à loin mais. Quand elle m’avait parlé de ses anecdotes après ça pendant notre petite virée nocturne après la droguerie de Gehena, j’avais trouvé ses explications très, voire trop étranges pour y faire attention.
«Est-ce que tu es malade ou besoin de quelconques soins ? Je peux peut-être t’aider pour ça. Après tout, je suis guérisseur, alors, si tu as besoin d’un avis, tu sais que je suis là.»
Doux, compatissant, aucunement arrogant ou inquisiteur la mettant au pied du mur. Je voulais la rassurer pour lui faire comprendre que ce n’était pas grave, qu’elle pouvait bien prendre des médicaments mais que je m’inquiétais pour son cas. Parce que si elle était malade, je voulais l’aider, faire quelque chose pour elle.
La pudeur constituait la règle. Aussi, Aengus ne montrait aucun signe d’affection en public. De toute façon, Keith était plus occupé à argumenter en faveur des ananas sur la pizza qu’à câliner sa blonde. Tout le monde semblait s’amuser même si Aengus ne percevait pas réellement l’intérêt du débat ! Lorsque Kendall l’invita dans la cuisine, la brunette posa sa main sur l’avant de Keith pour lui signaler son départ. Sur place, la jeune femme ne saisit pas réellement l’objectif de l’échange avec Nina. Cette dernière ressemblait à une biche prise dans les phares d’une voiture. La rougeur de ses joues n’annonçait rien de bon et le regard de la jeune femme envers Kendall à leur arrivée appuya l’idée. La suite de la conversation confirma le pressentiment. La fautive se dépêcha de fuir le plus loin possible, retour à la case salle de bain.
« C’est plutôt de Nina dont il faudrait s’inquiéter, non ? » Charria Aengus avant de tomber sur la boite que lui tendait Kendall. Dans un soupir, elle l’attrapa avant d’en observer le contenu d’un coup d’œil. Ah… Les enfants… Fallait tout leur expliquer, les rassurer, les cajoler.
« Des anxiolytiques. » Un sourcil se redressa lorsque Keith fut évoqué. « Euh… probablement. » Elle ne se souvenait pas de cette conversation et encore moins du moment évoqué. Tout ça remontait à trop loin.
« Je vais bien. » Souffla la brune pour rassurer le grand dieu. Ca ne suffirait pas, évidemment. Encore une fois, il tendait la main et elle ne savait pas comment la saisir. Aussi, elle lutta de toutes ses forces pour ne pas reculer aux derniers mots, comme si elle redoutait qu’il n’approche avec ses talents de guérisseur. Elle avait déjà goûté à ses étranges pouvoirs et à l’état dans lequel ils pouvaient la plonger. Non merci ! « De toute façon, vous le sauriez sinon. » Est-ce que ça devait ressembler à ça ? La question demeurait en suspens. Quel lien souhaitait-elle instaurer avec ce dieu qui serait le sien pour des décennies encore ? Elle n’en savait rien. Les bras se croisèrent sur sa poitrine comme si elle avait froid soudain. Le mouvement servait principalement à faire disparaître les pilules de la vue de tous. Finalement, elle pivota pour repartir vers les autres. Franchir cette porte l’interpela comme si elle creusait un fossé invisible entre Lugh et elle. Aussi, elle pivota en direction de son interlocuteur. La bouche s’ouvrit puis se ravisa avant de reprendre.
« Ça, » Elle avait fait tourner la boite entre ses doigts pour qu’il comprenne, au son des médicaments s’entrechoquant, l’objet qu’elle évoquait. « ne veut pas dire que je suis malheureuse… dans cette situation. »
Âge et date de naissance : 34 ans d'apparence. Né un 16 août au 3e siècle avant J.C Métier/occupation : Généticien-consultant pour la police scientifique/Musicien dans un petit groupe celte à ses heures perdues Cible touchée par Cupidon : Si cupidon frappe les hommes, il est également capable de piquer les fesses des dieux et leur insufler l'amour. Mais à défaut d'en avoir vu de toutes les couleurs, il aura tendance à privilégier l'amusement plutôt qu'une loyauté qui pourrait se montrer oppressante.
Panthéon d'origine : Panceltique Divinité incarnée : Lugh : Dieu de la lumière aux multiples arts dit le Polytechnicien : maître des arts et des sciences, de la magie, de l'artisanat et des combats. Alliance : Indépendant, neutre. Pouvoir(s) :
Médecine Dioscurique:
La médecine qui rassemble tous les savoirs des médecines divines, druidiques, alchimiques, magiques, contemporaines, etc. Capable de rendre possible l’impossible sur un être vivant ou divin.
Polytechnie:
L’art et la manière de créer n’importe quoi à partir d’un brin de lumière créée par le Samildanach et d’un peu d’imagination de sa part pour que celle-ci prenne une forme réelle mais il ne s'agit en réalité que d'une projection holographique à type de rayonnement lumineux. Cependant, ce pouvoir n'a qu'une projection à la vue de son utilisateur. Lugh ne pourra pas projeter des illusions à un endroit qu'il ne voit pas. S'il se concentre suffisamment l'hologramme peut sembler si réaliste que ça peut jouer sur le subconscient si l'esprit est faible, mais s'il y a le moindre obstacle qui coupe la lumière entre son créateur et la cible, l'hologramme se déforme et Lugh perd sa concentration.
Clarté omnipotente:
En utilisant la réflexion de la lumière naturelle, son corps entre en résonance avec les particules lumineuses pour augmenter sa vélocité à la vitesse de la lumière. En revanche, son pouvoir l'épuise si la lumière est amoindrie. À l'inverse, plus il aura de lumière plus l'utilisation de sa vélocité lui sera aisée et il n'aura pas d'affaiblissement pour l'utiliser.
Point faible :
Ar-éabdair & Dagda:
Ar-éabdair ou Gea Assail est sa lance magique fétiche en bois d'If, dotée d’une conscience pour qui il voue une allégeance absolue, cependant, cette lance est capricieuse et le pousse parfois à agir contre sa volonté et de manière obscure. Ar-éabdair peut également détruire sa conscience et tout ce qui se trouve autour d’elle s’il ne la plonge pas dans le chaudron du Dadga rempli de sang. Actuellement, il a trouvé la combine en la gardant dans un pendentif -créé exprès-; petite pointe d'or enfermée dans le chaudron miniaturisé en petite capsule de verre contenant du sang camouflé en un liquide carmin aux paillettes d’or. Tant qu’il l’a autour du cou, il ne risque rien, ni aucune destruction massive de cette lance capricieuse.
De plus, il est extrêmement sensible aux arts, dont la musique, et possède une oreille absolue, la moindre fausse note le dérange énormément et a tendance à le rendre instable au point d’en avoir des migraines et parfois des nausées. Il est également allergique à la connerie et déteste le langage grossier.
[HRP : Erm ! oui ! *tousse* me suis un peu laissé emporter, surtout par le débat de la pizza à l’ananas *tousse*]
Yule 22 Décembre
Plus une méfiance qu’un rejet. Mais une forme d’aversion ou de fossé qui se creusait entre nous ne me confortait pas dans ce sentiment de remord. Elle prenait des anxiolytiques, pour autant, je pouvais comprendre ce qui pouvait la rendre anxieuse, et culpabiliser pour ce que j’avais fait il y a quelques mois n’était plus à remettre en cause. Elle partait, reculait, s’éloignait sans donner plus d’explications. Sans chercher à répondre à la proposition lancée. Mon regard se fit plus déconcerté. Je baissais la main, clignais des paupières et me redressais un peu sur mes jambes.
«Attends Aengus… reste là.» Elle s’arrêta et se tourna vers moi. Ma main gauche se pause sur la paillasse de cuisine et je la fixe. Ses mots ont beau tenter de me rassurer, je n’ai pas ce ressenti. «Tu as tendance à oublier que notre lien est encore très faible, je peux ne pas forcément le sentir si tu es loin de moi. Voire même pas du tout.»
J’avance un peu en me passant la main droite sur l’arrière de mon crâne et me masse la nuque en poussant un soupir puis je me stoppe en gardant une certaine distance.
«Je sais qu’aucune excuse n’est pardonnable pour ce que j’ai fait. Et je me sens honteux vis-à-vis de ce que je t’ai infligé. Saches-le. C’est de toi dont je m’inquiète parce que tu ne montres rien, ou très peu de choses, et parce que je sais que je t’ai blessé.» Et j’ai encore beaucoup de mal à la cerner. Je sais que ça viendra avec le temps, et je sais que j’accepterait la situation, bien que je veuille faire en sorte que les choses s’arrangent. Mais s’il faut laisser le temps faire, je m’y tiendrai.
«Est-ce que… tu as ressenti un quelconque changement depuis la dernière fois ? Est-ce que ton don s’est manifesté ?»
Un peu hésitant pour lâcher ça maintenant. Mais je suis un peu du genre à rentrer dans le vif. Tentant de la retenir un peu pour que nous puissions profiter de ce moment en duo pour en parler. Mais je ne montais pas le ton. Histoire qu’on ne perçoive pas ce dont on parle.
« Vous avez l’intention de partir ? Parce que moi, j’ai bien l’intention de rester près de vous. » Lança Aengus sans réfléchir, un sourire en coin étirant ses lèvres. Elle contourna le dieu pour revenir dans la cuisine, s’appuyant contre le rebord de la table, face au musicien. Les mains de part et d’autres de son assise, elle écoutait attentivement, inclinant la tête sur le côté.
Entamer une petite musique en son for intérieur. S’imaginer des chatons tout mignon.
Les jeux d’esprits démarraient dans sa tête pour garder une réponse émotionnelle mesurée, ne pas exploser et surtout ne pas impacter Kendall. Les bras se croisèrent sur sa poitrine, à nouveau.
Délicatement, Aengus donna un léger coup de hanche pour se décoller de la table. Se glissant lentement d’un pas vers le divin, elle émit un petit son semblant marquer sa réflexion.
« Maintenant que j’y pense… » Sa main droite se redressa pour laisser son index tapoter ses lèvres. « Y a bien un truc. » Un pas encore l’approcha du dieu pour la confidence. Après tout cette conversation ne devait jamais arriver aux oreilles indiscrètes ! Un hochement de tête marqua cette profonde réflexion comme si elle cherchait à revivre des souvenirs précis. « Si, si, quand je fais ça. » Sa main à sa bouche virevolta théâtralement pour venir pincer son bras libre avec force. « Ca ne fait pas mal qu’à moi. » Un sourire narquois ourla ses lèvres une seconde avant de se redresser dans un soupir. La tête se hocha de gauche à droite pour finalement répondre plus sérieusement. « Ça compte ? » Battement de cils de gazelle. Inclinaison de la tête. Sourire ! Rideau !
Âge et date de naissance : 34 ans d'apparence. Né un 16 août au 3e siècle avant J.C Métier/occupation : Généticien-consultant pour la police scientifique/Musicien dans un petit groupe celte à ses heures perdues Cible touchée par Cupidon : Si cupidon frappe les hommes, il est également capable de piquer les fesses des dieux et leur insufler l'amour. Mais à défaut d'en avoir vu de toutes les couleurs, il aura tendance à privilégier l'amusement plutôt qu'une loyauté qui pourrait se montrer oppressante.
Panthéon d'origine : Panceltique Divinité incarnée : Lugh : Dieu de la lumière aux multiples arts dit le Polytechnicien : maître des arts et des sciences, de la magie, de l'artisanat et des combats. Alliance : Indépendant, neutre. Pouvoir(s) :
Médecine Dioscurique:
La médecine qui rassemble tous les savoirs des médecines divines, druidiques, alchimiques, magiques, contemporaines, etc. Capable de rendre possible l’impossible sur un être vivant ou divin.
Polytechnie:
L’art et la manière de créer n’importe quoi à partir d’un brin de lumière créée par le Samildanach et d’un peu d’imagination de sa part pour que celle-ci prenne une forme réelle mais il ne s'agit en réalité que d'une projection holographique à type de rayonnement lumineux. Cependant, ce pouvoir n'a qu'une projection à la vue de son utilisateur. Lugh ne pourra pas projeter des illusions à un endroit qu'il ne voit pas. S'il se concentre suffisamment l'hologramme peut sembler si réaliste que ça peut jouer sur le subconscient si l'esprit est faible, mais s'il y a le moindre obstacle qui coupe la lumière entre son créateur et la cible, l'hologramme se déforme et Lugh perd sa concentration.
Clarté omnipotente:
En utilisant la réflexion de la lumière naturelle, son corps entre en résonance avec les particules lumineuses pour augmenter sa vélocité à la vitesse de la lumière. En revanche, son pouvoir l'épuise si la lumière est amoindrie. À l'inverse, plus il aura de lumière plus l'utilisation de sa vélocité lui sera aisée et il n'aura pas d'affaiblissement pour l'utiliser.
Point faible :
Ar-éabdair & Dagda:
Ar-éabdair ou Gea Assail est sa lance magique fétiche en bois d'If, dotée d’une conscience pour qui il voue une allégeance absolue, cependant, cette lance est capricieuse et le pousse parfois à agir contre sa volonté et de manière obscure. Ar-éabdair peut également détruire sa conscience et tout ce qui se trouve autour d’elle s’il ne la plonge pas dans le chaudron du Dadga rempli de sang. Actuellement, il a trouvé la combine en la gardant dans un pendentif -créé exprès-; petite pointe d'or enfermée dans le chaudron miniaturisé en petite capsule de verre contenant du sang camouflé en un liquide carmin aux paillettes d’or. Tant qu’il l’a autour du cou, il ne risque rien, ni aucune destruction massive de cette lance capricieuse.
De plus, il est extrêmement sensible aux arts, dont la musique, et possède une oreille absolue, la moindre fausse note le dérange énormément et a tendance à le rendre instable au point d’en avoir des migraines et parfois des nausées. Il est également allergique à la connerie et déteste le langage grossier.
Un froncement de sourcils accompagne le regard empli d’incompréhension que je porte sur Aengus. J’entrouvre les lèvres et la fixe. Perdant la locution sur le moment et ne sachant que dire face à une telle révélation. Quelque part, ça me réchauffe le cœur, et m’empli d’une mélancolie si subite que je ne sais quel sentiment je dois aborder à l’instant même. Je ne sais pas pourquoi je ressens ça. J’observe son petit rictus, je la trouve choupinette. Mais pourquoi je ressens cette tristesse, je n’en sais absolument rien. Je me sens coupable et responsable, alors je lui avoue par des mots.
Après mes explications, elle se décolle de la paillasse pour prendre la parole. Je me contente de l’observer sans rien dire, la laissant réfléchir et chercher ses mots, ou peut-être ce qui semble la tarauder. Je la laisse s’approcher, puis sursaute par surprise lorsqu’elle se pince le bras. Je le ressens, fronce les sourcils, me redresse et prends un air dépité. J’ai envie de lui dire qu’elle a le droit de me frapper directement aussi. Mais à quoi bon la pousser à se lâcher quand elle cherche justement tout le contraire. Je relève ma main et viens frotter mon bras opposé qui a senti le pincement qu’elle s’est faite à elle-même. Je ne trouve rien à dire, balbutie sans prononcer quoique ce soit. Puis enfin, je cesse de prendre cet air indécis et finit par reprendre contenance pour m’exprimer.
«Non, c’est vrai… Mais rien ne m’empêche de couper ce lien. Ou inversement te faire ressentir ma part.» Une hésitation l’espace d’une seconde, il y a tellement de choses dont j’aimerais lui faire part. Mais la voix des jeunes de l’autre côté m’incite à arrêter la conversation là, et je l’invite à repartir dans le salon pour que nous prenions tous ensemble l’apéro.
Une ambiance bon-enfant s’est installé à mesure de la soirée, et le repas est servi. Nous discutons de choses et d’autres durant tout le repas. Des sujets qui ne fâchent pas. Jusqu’au moment du dessert où Nina a très envie qu’on ouvre les cadeaux que chacun a apporté. Même s’ils ne se connaissaient pas avec Keith et Aengus, la petite troupe a quand même pensé à eux. Rien de bien folichon, il s’agit surtout de petits cadeaux pour le plaisir d’offrir en cette période. J’ai pensé à prendre des choses pour tout le monde. Et, j’aime passer en dernier pour offrir mes cadeaux. Nous sommes passé dans le salon pour déguster le dessert devant le feu de cheminée et ouvrir chaque cadeau. Pour ma part, j’ai offert des petits gadgets utiles pour les membres de mon groupe et leurs copines, pour Keith, c’est une gourmette avec des runes celtes que j’ai offert, et pour Aengus, un couteau en damas que je me suis amusé à forger moi-même. Il faisait longtemps que je n’avais pas forgé une arme, l’époque de ce temps où j’étais forgeron est bien révolue, mais je n’ai rien perdu de la main d’œuvre et du côté artistique de la fabrication de l’arme. Ainsi que son fourreau en cuir épais que je me suis amusé à customiser.
L'heure des cadeaux avait sonné. Aengus avait pensé à chacun des membres, offrant les classiques qui faisaient toujours plaisir. Pour Kendall, c'était tout autre. Le dieu recevait en présent une petite statue d'un sanglier. La brunette l'avait sculpté de ses propres mains, tailler le bois l'aidait à rester concentrer et calmait ses nerfs. Des jours de travail avaient été nécessaire pour cette minuscule petite chose. Malheureusement, le perfectionnisme d'Aengus continuait de remarquer les défauts : la patte arrière trop courte, la défense non symétrique ou encore quelques imperfections dans le polissage.
"Il prendra moins de place que Cléopâtre !" Fit remarquer la brune en tendant presque timidement son présent emballé dans un tissu rouge.
Le musicien avait choisi d'offrir ses cadeaux en dernier et tous respectèrent ce choix. Lorsque le tour d'Aengus et de Keith arriva, la première se mordilla la lèvre, mal à l'aise et le second réfléchit un instant à la réponse la plus appropriée. Assez fier de son genre, Keith gardait, au fond, une image très restreinte de la virilité. Pourquoi avait-il le bijou et Aengus le couteau ? Pourquoi s'offrir des armes, d'ailleurs ? L'homme resta poli et remercia sincèrement le dieu. Après tout, l'intention était fort sympathique et le geste le touchait.
Pour Aengus, l'arme tourna agilement entre ses doigts. Elle reconnaissait là une parfaite manufacture.
"Merci beaucoup. C'est magnifique." Lança l'irlandaise sans savoir quel comportement adopter.
Finalement, la fête reprit son cours. Keith proposa même une sortie dans le bar du petit village où un petit concert aurait lieu le lendemain après midi. Branché sur la musique, l'ensemble entama un échange de morceau, chacun chantant alternativement, grattant un peu une guitare.
Le son commençait à fatiguer Keith qui rejoint en premier Kendall parti fumer. Lorsqu'il remarqua la cigarette, le brun s'adossa au mur juste à côté du dieu et taquina.
"Habituellement, j'éteins le feu avant qu'il ne brûle mes amis." La tête s'inclina sur le côté avant de doucement donner un petit coup d'épaule à son compagnon du moment. Son regard posé sur le dieu, il poursuivit. "Tu fumes mais gardes une parfaite carnation, une peau bien blanche. Tu bois mais ne t'enivre qu'à peine et la gueule de bois ne semble pas te concerner." Un sourire en coin étira les lèvres du jeune pompier avant qu'il ne murmure à l'oreille du divin. "C'est quoi ta méthode secrète ?" Mine de rien, le pompier se redressa et plongea la main dans l'intérieur de sa veste pour un sortir un paquet. "Tiens. C'est pour toi."
Il tendit alors une petite boite noire au divin. A l'intérieur se trouvait un roi, une pièce d'échec taillée dans le bois d'un cerf ou autre cervidé. "En réalité, tu peux l'ouvrir par le dessus." Son propos justifia la suite. Sa main, sûre et habile, attrapa la pièce entre les doigts du musicien, provoquant un effleurement volontaire. "Regarde." Il tira délicatement sur le sommet pour en extraire une petite lame d'acier. L'objet devait être un petit coupe-papier puisqu'il ne mesurait qu'une dizaine de centimètres.