ft. Alex Pettyfer
♆ Enveloppe charnelle ♆Âge : 25 ans
Date et lieu de naissance : 30/03/94 à Cherry Hill
Lieu de résidence actuel : 2427 Meredith St Philadelphie, Pennsylvanie
Occupation : Jeune avocat pour la firme connue sous le nom de "Akin Gump Strauss Hauer & Feld LLP"
Orientation sexuelle : Bisexuelle
Situation matrimoniale : Célibataire
Nature : Humble mortel à l'enveloppe charnelle purement humaine ~
Dieu incarné/créateur/vénéré : Croyant : Il voue une forme de culte à la réligion égyptienne, mais aussi à sa mythologie, féru de légendes. Il est convaincu de leur existence ou en tout cas de leur passage sur terre par le passé. Mu par une curiosité sans fin, il tend à flirter avec un certain polythéisme meditteranéen en s'intéressant de très près aux mythes grecques parce que les traces archéologiques lui ont permis de faire un lien d'interprétation entre les deux mythologies.
D'autre part, Anubis est son Dieu.
Panthéon du dieu : Egyptien.
Rang au sein de Sanctum : Celui d'être considéré parmi les fourmi comme étant une fourmi, un grain de poussière dans l'immensité bleutée terrienne. Merci pour ce grade ~
Il n'est pas certain d'y croire pour l'instant.
♆ Mythes et légendes ♆Cérébral ♆
Curieux ♆
Inépuisable ♆
Vaniteux ♆
Elitiste ♆
Misophobe ♆
Psychanaliste ♆
Littéraire ♆
Passionné ♆
Vorace ♆
Sapiosexuel(Nb: Sieg' est un petit paradoxe vivant dans l'idée qu'il est bon vivant, souriant de nature mais trop obsédé par l'ascendant qu'il en oublie de profiter. Au travail, il est une machine, au club il est lui-même. ou presque.)
Tu es sorti des entrailles de ta mère, tu apparais comme étant un doux chérubin sans ses ailes et tu n'as absolument pas conscience que ton existence n'a aucun sens, sinon mue par l'évolution humaine.
Tu grandis sans ambages, personne pour brimer ton sillage. D'abord l'école t'amuse beaucoup, ensuite l'ennui prend possession de toi. Parce que tu sembles souffrir d'un déficit de l'attention, de par une hyperactivité accrue. Tu ne parviens pas à écouter ce que ton professeur te dit, tu ne souhaites que sortir, jouer avec les animaux ... ou aux jeux videos.
Alors ta mère qui t'a elevé seule, loin du géniteur alcoolique et voleur à son compte, décide de t'animer les papilles mentales par un loisir prenant. Tu cherches d'abord à toucher une guitare, un piano, un violon, mais les sons vibrants n'ont de ça que tu t'en lasses. Ce que tu veux, c'est l'adrénaline, la nouveauté, l'action.
Tu te tentes au foot US, au basket. Tu n'es pas assez grand pour ça, tu n'es pas assez fort, encore moins robuste.
Ton adolescence vient te cueillir, comme ça, tes hormones font loi chez toi. Tu t'intéresses aux filles, tu aimes séduire. ... mais tu te rends compte que tu aimes d'autant plus séduire en étant le premier de ta classe. Et lors d'un cours... tu t'intéresses à lui. Il te fascine. Ta mère a déjà cherché à te plonger dans le christianisme, mais de toute les religions, tu adores ces têtes animales.
Tu fais des recherches, tu te nourris essentiellement de ces livres, en plus d'apprendre par coeur tes cours.
Mais tu veux plus. Toujours plus. Encore plus.
A 13 ans, tu t'intéresses au pole dance. C'est comme ça, il n'y a rien que tu réflechisses pour le moment, tu te laisses juste guider par ce que ta paire d'yeux innocents peut bien voir, à la télé, sur internet, en trainant avec les potes. Tu es attiré par la lascivité du corps, tu consideres ce sport dangereux et physique. C'était soit ça ou attendre la majorité pour conduire une motocross sur des terrains minés.
Tu as fait ton choix.
Puis l'école sup' arrive, l'université fait suite. Tu aimes cet environnement, tu as tout juste des bonnes notes pour la filière du droit. Tu as juste décidé de prendre cette branche pour prendre le chemin inverse du géniteur. Il a fini en prison après ces nombreux larcins. Tu souris en coin à l'idée qu'il croupisse là-bas. Seule ta mère compte pour toi, et personne d'autre. Tu ne parviens pas à t'attacher. A aimer. Tu as essayé avec les hommes, la curiosité aidant, pour finalement trouver ça pas mal. Le sexe a un intérêt dans la manipulation émotionnelle ou dans l'optique d'expulser la pression.
C'est tout.
Tu agis comme un prince avec autrui, tu te montres toujours respectueux. Tu l'es en même temps mais... tu te fiches pas mal d'eux. Tout ce que tu veux, c'est réussir dans tes études et devenir le meilleur partout.
Tu te drogues. Tu touches à ces conneries de stupéfiants. Amphétamine, ritaline, modafinil. Tu le caches à ta mère, tu fais fi des effets secondaires sur le long terme. Tu te fiches pas mal des conséquences parce que tu ne te laisseras pas dompter par cette dépendance.
Puis tu captes tout.
En parfait glouton que tu es, tu amasses une tonne incessante d'informations, de données. Tout est si clair & limpide maintenant que tu te prends pour un dieu. Mais ca t'éloigne d'autant plus des gens car tu les considères comme étant des merdes. Des sous-merdes. Tu les méprises. Et tu t'aimes.
Au final, tu passes ton temps à étudier, à boire, à te droguer et à danser. Autour de ta barre. Parce que depuis le temps, tu te dis que danser dans un club peut être une bonne idée. Mais tu sais que c'est trop dangereux pour ta réputation et tu caches juste ce plaisir, cette passion pour t'adonner aux cours du soirs, seulement lorsque tu en as le temps.
Mais les années passent et la fatigue te fait trépasser. Elle est telle que tu n'en peux plus. Tu as été trop accroc, trop avide et ta mère l'a appris. Alors tu as fini par t'en défaire car la depression prenait possession de toi. Tu as même fabulé, phantasmé sur l'impossible. Qu'anubis te suivait, que des entités superieures existaient. Ou était-ce des extraterrestres ?
Tu parviens à passer les examens, sans difficulté au final. Ta mémoire éidétique t'a permis d'emmagasiner assez de lignes sur le droit pour te hisser vers le haut. Mais étrangements, tu es décu. Tu aurais voulû être le premier de ta promo, être major. Tu frappes ton mobilier dans cette chambre misérable, tes poings s'abattent sur le bureau avec lequel tu as évolué et partagé des moments de durs labeurs, soutenus le poids des efforts nocturnes où tu ne faisais qu'étudier.
Tu te rends compte que tu n'es rien d'autre qu'un pauvre humain, une fourmi, sans ces drogues. Et que tu n'étais surtout pas le seul à en consommer. Tu n'as rien d'original. Juste ta mémoire d'éléphant.
Tu passes une main sur ta bouche, tu détestes profondemment ta nature de mortel au cursus lambda. Tu rêves d'être au-dessus de tous, simplement pour te faire flatter, parce que tu te fiches du pouvoir pour l'exercer, tu veux juste être le meilleur.
En exercant ton metier d'avocat, finalement, tu t'assagis. Tu travailles, tu danses le soir, tu oublies ta misophobie naissante ou la déception de n'avoir aucun miracle, aucun signe supernaturel dans ta vie, et tu recommences, le lendemain. Tu travailles, tu bois, tu danses. Mais tu es toujours seul.
Puis tu écris. Laisse submerger par tes sentiments, tu les couches juste sur le papier tout en évitant les hommes, les femmes. Tu n'ouvres la bouche que pour terrasser ton rival en justice. Heureusement, il y a des soirs où tu t'enroules autour de cette barre pour te prendre pour un ange. Fardé de poudres noires des yeux jusqu'au front.