♆ Enveloppe charnelle ♆

Âge :La belle a 121 ans, transformée à ses 33 ans
Date et lieu de naissance : Sicile, le 17 juillet 1898
Lieu de résidence actuel : Philadelphie, dans un studio collé à sa salle de sport

Occupation : Officiellement, gérante d'une salle de MMA. Mais le plus gros de ses revenus provient d'activités plus ou moins licites parmi lesquelles on retrouve la gestion de paris clandestin , prêts à taux usurier, racket, faux et usage de faux, extorsion de fond et aide à l'évasion fiscale entre autre.

Orientation sexuelle : Elle ne fait pas de choix car choisir est inutile.
Situation matrimoniale : Si elle refuse de choisir, elle n'ira pas non plus s'engager. De toute façon sa vie est entièrement dédiée à son Dieu.

Nature : Disciple

Dieu incarné/créateur/vénéré : Dieu de la malice, de la discorde et des illusions : Loki
Panthéon du dieu : Nordique

Alliance : Les Indépendants, parce que choisir un camp revient à s'enfermer.
Rang au sein de Sanctum : /

Pouvoir :Maîtresse des Hallucinations ~ Création d’hallucinations pouvant cibler les cinq sens, représentant généralement la plus grande peur de ses cibles. Une seule hallucination peut être crée à la fois et toucher une personne ou devenir collective dans un espace de 5 m2 au maximum.

Jay a la capacité de créer des hallucinations depuis qu’elle est devenue une disciple de Loki. Elle peut choisir de ne toucher qu’une seule personne et dans ce cas sa déformation des perceptions de la cible tiendra plus longtemps (2h à 3h maximum sur une journée). Elle peut également choisir d’exercer son pouvoir dans un certain périmètre. Les personnes présentes dans ce périmètre verront ou entendront toutes la même chose. Les personnes avec une grande force mentale ou qui sont au courant que ce ne sont que des hallucinations sont faiblement touchées par son pouvoir. Elles prennent plus rapidement conscience que ce n’est pas réel. L’utilisation de son pouvoir fatigue Jay qui est limitée dans l’utilisation de son pouvoir par de fortes migraines si elle en abuse. De manière générale, elle ne peut pas utiliser son pouvoir plus de 2h par jour, 3h si elle ne l’a pas utilisé pendant plusieurs jours.

Point faible : Paranoïa ~ Elle n’a jamais l’esprit  tranquille. Conséquence de son pouvoir ou de son passé, il lui arrive d’entendre des voix. Elle interprète mal les regards et les messes basses, entrant facilement dans une colère noire au moindre affront.

Il lui arrive d’entendre des voix, celles de ceux qui sont morts sous sa main. Ils reviennent parfois la hanter à tel point qu’elle aussi subit parfois son propre pouvoir d’une certaine manière. Jay prend des cachets qui atténuent les symptômes et parfois des substances plus récréatives mais pour autant cela ne la calme pas vraiment. Véritable bombe à retardement c’est la présence de son Dieu à ses côtés qui calme ses névroses mais pour autant, elle ne peut rester à ses côtés en permanence. Elle est proche de lui seulement quand lui le souhaite car jamais elle ne lui imposera sa présence.

♆ Mythes et légendes ♆

Assidue ♆ Autoritaire ♆ Caractérielle ♆ Distante ♆ Dominante ♆ Entièrement dévouée à son Dieu ♆ Fidèle ♆ Imperturbable en dehors de ses crises ♆ Intransigeante ♆ Lunatique ♆ Observatrice ♆  Protectrice ♆ Responsable ♆ Tenace ♆ Têtue ♆ Travailleuse ♆

Juillet 1903, Amérique du Nord

Aujourd’hui, c’est mon cinquième anniversaire. Cela fait déjà plus de quatre ans que nous avons quitté la Sicile et que nous habitons ici, avec mes parents. Maman me gronde souvent parce qu’elle trouve que je suis capricieuse et que je ne suis jamais d’accord avec elle. Papa lui il me dit tout le temps que je suis sa petite princesse et que j’ai raison de ne pas me laisser faire. Ça doit être parce que lui il est Italien qu’il me comprend mieux. Il me dit tout le temps que c’est mon sang Italien qui me rend si merveilleuse et je pense que Papa il a bien raison !

Septembre 1908, Amérique du Nord

Les choses sont de plus en plus difficiles avec Maman. Elle pleure beaucoup parce qu'on se dispute tous les jours et c'est encore pire le soir quand Papa rentre à la maison. Je les entends crier de ma chambre mais Papa me défend toujours. J’en ai assez de les entendre se disputer tout le temps. Papa me rassure et me dit que j’ai juste besoin de faire quelque chose pour évacuer mon énergie. Il me dit que je suis quand même un peu garçon manqué, mais moi ça ne me dérange pas qu’il me dise ça. Ça veut dire que je suis un peu comme lui. Du coup, j’ai été inscrite dans un club de boxe et j’ai adoré. J’étais l’une des seules filles parce que c’était le tout début de l’ouverture de la boxe aux femmes alors autant dire que parfois on se moquait de moi, mais Papa n’était jamais loin. Je ne comprenais pas trop pourquoi mais les gens n’embêtaient jamais mon Papa, il était toujours respecté partout où on allait, c’était vraiment bien. J’avais l’impression d’être un peu comme une princesse.

Mars 1914 Amérique du Nord

Mon père est parti, il devait rentrer au Pays, des affaires urgentes l’y attendaient. Ma mère commença à sombrer petit à petit. Une femme seule devenait très facilement la source de commérages et les rumeurs allaient bon train dans le quartier dans lequel nous vivions. Je ne me doutais pas un seul instant qu’elles étaient fondées, jusqu’au jour où je vis ma mère avec un autre homme, sous notre propre toit. Je suis entrée dans une colère noire, détruisant tout ce qui était à ma portée. Ma mère bafouait l’honneur de mon père sous mon nez et jamais je ne conserverais ce secret pour elle. J’étais bien décidée à tout révéler à mon père, à tout lui raconter à son retour. Mais il ne revint pas.

Avril 1915 Amérique du Nord

Ma mère n’avait jamais travaillé de toute sa misérable vie et quand elle apprit que mon père ne reviendrait jamais, elle finit de couler. Sans argent, elle ne savait pas comment elle allait faire pour survivre, alors elle commença à fréquenter des hommes qui lui laissaient de l’argent en partant, parfois avec un petit supplément plus récréatif et c’est cela qui acheva sa descente aux enfers. Elle tomba dans la prostitution et se droguait régulièrement pour tenter d’échapper à la condition lamentable qui était la sienne. Pour ma part je ne rentrais à la maison que pour dormir, pour avoir un toit au-dessus de la tête, rangeant tout le désordre que ma mère répandait derrière elle.
Je commençais presque à avoir de la peine pour cette femme si faible, à tel point qu’un jour, lorsqu’elle me demanda d’aller chercher sa dose, me tendant ses saints billets qui lui tenaient tant à cœur, j’ai accepté sa demande.
Ce jour-là, dans cette ruelle, j’ai été agressée. Dépouillée de l’argent de ma mère, de ma dignité et de mon amour-propre. Je n’ai plus jamais éprouvé de la peine ou de la compassion pour les gens qui m’étaient inférieur, car eux n’en avaient de toute façon pas pour les autres. Lorsque je suis rentrée, complètement détruite, cette femme ne trouva rien de mieux à faire que de me faire la morale pour le temps que j’avais pris pour lui ramener son Précieux. « Ce sont des choses qui arrivent » m’avait-elle dit lorsqu’elle finit par comprendre ce qui m’était arrivé. Mon père, s’il avait encore été en vie, aurait très certainement collé une balle dans la tête de la personne ayant osé me parler ainsi. C’est parce que je n’avais jamais connu cela que les paroles prononcées par ma génitrice ce jour-là furent d’autant plus douloureuses. Personne ne m’avait jamais manqué de respect du vivant de mon père. En une seule phrase elle avait fini de détruire la dernière étincelle d’espoir que j’avais la concernant.

Juillet 1919 Amérique du Nord

Le jour de mes 21 ans, un oncle du côté de mon père est venu me chercher. C’était l’une des dernières volontés de mon père, si un jour il lui arrivait quelque chose, qu’à mes 21 ans, sa famille de Sicile vienne me récupérer et c’est ce qu’il fit. Je suis partie avec le strict minimum, n’ayant de toute façon plus grand-chose de valeur dans le taudis dans lequel nous avions fini par élire domicile avec ma mère qui était allée se réfugier auprès d’un ex taulard toxico qui l’accompagnait dans son délire. Lorsque j’ai suivi mon oncle, je ne me suis jamais retournée, laissant ma mère dans la misère dans laquelle elle s’était elle-même enterrée.

Mars 1923 Sicile

Cela fait plus de trois ans maintenant que je suis auprès de cette branche de la famille, celle du côté de mon Père. Quitter l’Amérique où j’avais passé toute ma vie n’avait pas été facile, réussir à m’adapter fut complexe. C’était une culture différente, j’avais une place différente et un rôle à tenir. Lorsque je suis arrivée en Sicile j’ai compris pourquoi mon père était rentré, car la Famille l’avait appelé. Mon Père qui avait toujours été bon et compréhensif avec moi dans mes souvenirs ne l’était pas vraiment avec les autres. Son rôle auprès de la Famille y était pour beaucoup. L’Amérique n’était pas qu’une simple visite ou un nouveau départ, c’était un ordre que lui avait donné le chef de la famille. J’ai beaucoup appris à leurs côtés durant ces années. D’étrangère et de femme, j’ai réussi à gagner mes galons, devant la digne fille de mon père et ce n’était pas un petit compliment venant d’eux. Je poursuivais mon apprentissage de la boxe, dès que j’avais un moment, l’inactivité et le besoin de me défendre étant toujours de plus en plus présent. C’est à partir de ce moment là où le surnom de Jay me fut donné. Cela sonnait plus masculin, toujours américain certes, mais ils préféraient cela. C’est même depuis que j’ai ôté ma première vie qu’ils avaient commencé à m’appeler Jay, comme si j’étais vraiment une des leurs à présent, une vraie Masseria et pas une moins que rien comme la femme que s’était choisi mon père.

Novembre 1925 Japon

Six ans après être partie des États-Unis et après quatre années aux côtés des Masseria je suis partie au Japon. Ne me demandez pas pourquoi, je n’ai fait que suivre les ordres. Étrange d’envoyer une Sicilienne au Japon mais j’avais été préparée. J’avais durant plusieurs années appris à écrire et pratiquer la langue. Ma maîtrise du Japonais n’était donc pas parfaite, mais j’avais déjà de bonnes bases pour réussir à me débrouiller et je n’étais de toute façon pas seule. J’avais avec moi plusieurs contacts qui pourraient m’aider à mener à bien mes différentes missions, dont la négociation de contrats concernant des armes. Je n’étais pas seule bien entendue mais je portais ces missions et le succès de ces dernières était donc de ma responsabilité.

J’ai commencé à apprécier et à découvrir plus intimement la culture Japonaise et je me suis initiée à plusieurs discipline comme le Naginatajutsu, art martial qu’un bon nombre de femmes pratiquait et affectionnait depuis près d’un millénaire. Cet art martial était remarquablement intéressant, tout comme la pratique de différentes disciplines comme le Muay Boran puis par association le Muay Thaï grâce à des partenaires locaux originaires du Siam.

Juillet 1928 Japon

Ma mission était toujours ma priorité, mais j’avais aussi besoin de me trouver une vraie place là où j’étais. J’avais déjà commencé à assister à des combats par curiosité, voulant comprendre pourquoi le peuple appréciait tant ces évènements. Un soir, pour répondre à un défi et pour défendre la réputation de ma Famille, je suis montée sur un ring. Mon adversaire n’était pas un modèle de force et de technique et c’est comme ça que je l’ai battu, plutôt facilement pour un premier combat devant du public mais surtout, j’ai pris goût à cela. Périodiquement, lorsque la vie au Japon commençait à m’ennuyer, je m’occupais dans des combats, me délectant de ces instants, profitant de chaque coup donné pour travailler, de chaque coup reçu pour encaisser et apprendre. Certains diraient que ce n’est pas une vie, moi je dirais plutôt que c’était la vie qui me convenait le plus.

Une chose est certaine en tout cas, je L’ai rapidement repéré. Il semblait, différent des hommes que j’avais vu et fréquenté par le passé. Son aura était captivante et intrigante. Je L’ai vu plusieurs fois lorsque j’étais en train de me battre et de libérer chaque fois un peu plus cette rage qui me rongeait depuis toutes ces années.

Il n’était pas Japonais, c’est peut-être pour cela que je L’avais remarqué la première fois et que je Le repérais plus facilement dans la foule. Même si mon but premier était de vendre des armes et de servir d’intermédiaire entre les Masseria et certains Yakuzas (appelons un chat un chat), je n’en demeurais pas moins une femme avec des besoins à satisfaire et une certaine curiosité également à assouvir. Je ne Le voyais pas à chaque fois, assez souvent c’est vrai mais pas à tous les combats. Un soir, alors que j’étais en train de fumer après une soirée plutôt mouvementée, nous nous sommes parlés. Il avait l’air d’être dans un autre monde, assez mystérieux, parlant comme s’Il connaissait tout de ma vie et de ce qui m’habitait à l’intérieur, ce qui eut pour effet de doucher très rapidement certaines de mes envies.

Je ne supportais pas les gens qui pensaient me connaître. Mon intérêt pour Lui s’envola aussi vite qu’il était venu mais ce soir-là allait en fait marquer le début grand changement.

Février 1929 Japon

Nous étions réunis ce soir-là pour une vente d’arme dans un entrepôt. Plusieurs représentants locaux étaient là, un de mes derniers actes ici avant de rentrer enfin au pays. Et Il était là. Je ne l’avais pas invité, je ne savais même pas pourquoi Il était là, ni comment Il avait eu vent de l’évènement. J’ai fait signe à mes gars de le surveiller et après la vente, Il vint me voir, me proposant de prendre un simple verre avec Lui. Je n’avais rien à faire de ma soirée, je commençais à m’ennuyer ferme alors je L’ai suivi, juste pour écouter ce qu’Il souhaitait tant partager. Et là nous sommes partis dans de grandes explications, sur ce que je méritais, sur ma véritable place, sur ce que je pouvais obtenir et la cage dans laquelle j’avais été enfermée et qui étouffait mon potentiel. Il est fou de croire que j’allais quitter ma Famille pour suivre un inconnu. Qu’avais-je à y gagner ? J’avais déjà suivi, torturé et exécuté plus d’un traître à notre sang et je n’étais pas folle pour m’infliger le même sort. Qu’avait-Il à me proposer de plus alléchant ? L’éternité.

Octobre 1931 Sicile.

Je ne suis plus là même. Depuis cette soirée où nous nous sommes parlés, Il a changé ma vie. Je comprends mieux à présent pourquoi Il m’avait attiré lorsque je L’avais vu pour la première fois. Il n’était pas un des nôtres, Il n’était pas un mortel et j’avais en face de moi Loki, cette divinité d’une autre époque. Il termina d’abaisser les dernières barrières que j’avais, les dernières réticences qui pouvaient encore subsister pour que mon potentiel puisse pleinement se libérer. Il est allé en Sicile en même temps que moi. Je ne saurais dire quel accord a été trouvé pour que je sois libérée de mes obligations vis-à-vis des Masseria mais je pouvais être tranquille. J’étais toujours un membre de la Famille, mais je ne leur devais plus rien, juste la promesse de répondre présente s’ils avaient besoin de moi pour une question vitale. Affaire conclue. De plus grands projets m’attendaient auprès de quelqu’un qui se souciait réellement de moi et qui ne demandait qu’une chose, que la rose puisse enfin éclore.

Février 2020 – Philadelphie.

Que ce pays a changé en un siècle. La modernisation avait été bénéfique, ne serait-ce que du point de vue des transports. Je n’ai presque pas pris de rides, normal, quand on frôle l’immortalité, certaines choses deviennent presque immuables. Je sers Loki depuis des décennies à présent, je dois être l’une des mortelles qui le comprend le mieux, parce que je l’observe, je le vénère et que je veux tout faire pour rendre sa vie la plus douce possible. Je l’aide à développer ses différents secteurs d’activité, à faire fructifier son argent et à répandre sa foi partout où je le peux.

Je possède une salle au-dessus de laquelle est collé mon appart. Pas besoin de quelque chose d’incroyable et de spacieux, cela me convient totalement et la proximité avec la salle me plaît. Durant mes crises nocturnes, cela me permet plus facilement d’évacuer toute cette tension que j’ai en moi ou de m’entraîner avec les hommes de main de Loki. Même si nous ne travaillons pas tout le temps ensemble, j’apprécie de m’entraîner avec eux, cela me permet aussi de vérifier qu’ils sont toujours aptes à le servir car ils savent que mon avis compte énormément à ses yeux.
Dans le secteur, on m'appelle toujours Jay. Ici, c'est plus logique. Jay pour la première lettre de mon prénom que personne n'utilise. Je suis au contact de plusieurs Divinités afin de servir au mieux les intérêts du Mien. Vu notre secteur d'activité, nous avons besoin de ... partenaires commerciaux et les Immortels tiennent merveilleusement bien ce rôle. Les quelques croyants qui connaissent ou non d'ailleurs sa nature divine m'aident sans broncher. Ainsi, il n'est pas rare de voir dans la salle des anciens taulards qui s'entrainent. Cela n'a rien d'anodin car notre réseau est solide. J’ai dans mes contacts des gardiens de prisons dans les plus grands pénitenciers de l'Etat, cela me permet de recruter facilement des hommes pour les combats qui constituent tout de même un de nos revenus les plus stable, grâce à un début de partenariat avec Rachel. Le sous-sol du Divina Bar est très fréquenté et mon expérience au pays du soleil levant dans ce domaine m’a permis de bénéficier d’une sorte de période d’essai. Loki ne s’est jamais intéressé aux combats du Divina et à ma participation dans les activités de Rachel, tant que de l’argent rentrait, j’avais carte blanche et sa confiance. C’est grâce à cela que j’ai réussi à approcher Kali et je dois bien reconnaître que ce boulot nocturne me plaît bien

Depuis que je suis l’une des Disciples de Loki, mon but a changé. Le servir Lui passe avant tout et j’ai eu la confirmation que cela était bien plus valorisant que de me contenter d’être un pion des Masseria. Avec lui, j’étais bien plus qu’un simple pion sur l’échiquier, j’étais la Reine.

Note du staff
Félicitations pour ce nouveau personnage badass à souhait, joliment intégré au contexte du forum et de Philadelphie (encore heureux, pour une admin ).
Amuse-toi bien, casse-nous des gueules en pagaille et emmerde les autres avec des hallucinations flippantes !  

Tableau de bord
Pour t’intégrer au forum, nous t’invitons à suivre ces quelques liens :

♆ Fiches de liens/RPs : c’est un atout considérable que d’avoir son petit répertoire de liens/RPs. À jour ou non, il permettra aux autres membres de rapidement se renseigner sur ton personnage. Nous t’invitons à lire les sujets des autres pour tenter de leur proposer des liens avec ton personnage. Un annuaire des liens recherchés recense en outre les demandes des membres.

♆ Veille également à bien renseigner les informations de ton profil, notamment les URL de tes fiches de Présentation et de Liens. Cet accès direct facilite beaucoup la découverte de ton personnage par les autres joueurs.

♆ Tu cherches à jouer ton personnage sans plus attendre ?
Tu peux t’inscrire à une situation RP pour démarrer sur un contexte RP prédéfini avec un partenaire.
Par ailleurs, les intrigues peuvent t’inspirer une amorce, une situation qui mettra en scène ton personnage.

♆ Zone invités : s’il te reste des questions ou que tu as des suggestions, tu pourras toujours utiliser cet espace.

♆ Flood : si ça n’a rien d’obligatoire, nous t’invitons toutefois à te rendre dans le Flood, sur la ChatBox ou notre serveur discord afin de faire la rencontre des autres joueurs.

En cas de besoin, le staff se tient à ton entière disposition par MP.


Bon jeu parmi nous !