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 Ain't no rest for the wicked (Alfonso & Endora)

Cosmos
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 Ain't no rest for the wicked (Alfonso & Endora)  Mar 20 Aoû 2019 - 13:01

Ain't no rest for the wicked


Philadelphie, nuit d’Halloween (31 octobre 2018)*


Delilah Taylor déteste Halloween. Elle l’a toujours détesté d’ailleurs, depuis toute petite. Faut dire que la famille Taylor n’était pas très portée sur les fêtes en tout genre, et que bien souvent la petite fille qu’elle fut passait ses soirées dans sa chambre, tête sous l’oreiller pour tenter d’étouffer les voix de ses parents qui se criaient dessus, alcoolisés la plupart du temps. Elle n’a pas fait des grandes études Delilah, mais elle est débrouillarde, et lorsqu’elle a quitté le nid il y a deux ans de cela – elle avait alors à peine seize ans – elle eut alors la chance de trouver ce job de danseuse la nuit au « Las Cavaleras ». Le patron était particulier mais payait bien, et le boulot pas trop ingrat. Oh, elle devait bien écarter quelques paluches traînantes de temps à autres, mais bien souvent, Ramon, l’homme de main du patron, veillait au grain que les filles de Mr Ximénez ne soient pas embêtées si elles ne le souhaitaient pas.

Delilah consulte son portable pour voir l’heure : 22h10 s’affiche sur l’écran blafard. Elle doit se dépêcher si elle ne veut pas être en retard pour son numéro. Sans prêter attention à la foule environnante dans la rue, ni aux déguisements les plus effrayants ou incongrus les uns les autres, la jeune femme presse le pas, accélérant la cadence des claquements de ses talons sur le bitume. Lorsqu’elle bifurque dans la ruelle menant à l’entrée « des artistes » de la boîte de nuit, elle ne prête pas attention à la haute silhouette affublée de cornes qui l’observe en silence dans la pénombre.


*****



Comme tous les ans à Halloween ou Mardi Gras, Zirnitra, alias Endora Bishop, se plaît à se mêler aux humains, en toute impunité, son étrange allure passant inaperçue au sein des déguisements en tout genre, les plus effrayants les uns que les autres. Ces excursions lui permettent d’assouvir certains « besoins », et parfois de faire des rencontres surprenantes ou originales.

Quelle ne fut pas sa surprise cette nuit là lorsque son chemin croisa celui de Delilah Taylor. La jeune danseuse ne le sait pas, mais elle est le sosie conforme de l’humaine qui compta tant aux yeux et au cœur de Zirnitra, et qu’elle endormit pour cent ans. La stupéfaction passée – et un rapide calcul mental fait- suffit au dragon pour deviner qu’il ne s’agit pas de la même personne. Le siècle ne s’est pas encore écoulé en sa totalité, et impossible que le sort fut brisé sans qu’elle n'en fut informée. Mais la ressemblance est tout de même suffisamment frappante pour soulever la curiosité et l’intérêt d’Endora. Et l'objet de cette curiosité non assouvie se trouve désormais à l’intérieur d’une boîte de nuit dénommée « Las Cavaleras ». Peut être voici là une occasion d'animer cette soirée jusque lors ennuyeuse ?


*****



Ramon observe depuis un petit moment déjà. Pas de doute. Cette femme aux cornes de dragon sur la tête ne lâche pas du regard une des danseuses sur la scène. La jeune Delilah est dans sa ligne de mire. Rien de bien exceptionnel à priori, nombreux sont les clients qui matte avec insistance les filles, mais Ramon à un mauvais pressentiment pour le coup. Cette bonne femme là à un truc qui ne lui plait pas. Et comme toujours dans ces cas là, il va en référer à son patron, le propriétaire des lieux, Alfonso Ximénez.


Que va-t-il donc découler de la rencontre entre le Dieu dragon de la sorcellerie et le Dieu de la mort et du Mictlan Aztèque ? Le squelette contre le feu… ?



* Pour des soucis de respect de chronologie et de cohérence avec  l'histoire des personnages, la temporalité est volontairement basée sur la soirée d'Halloween de 2018.



Informations complémentaires :

Le contexte de ce RP aléatoire vous est proposé par @Kaitlyn McKinney. Vous pouvez la MP si un point du contexte vous turlupine.

Le staff n’interviendra pas au cours de ce RP. C’est à présent votre sujet, vous le gérez comme un RP ordinaire.

Si le contexte ne vous inspire pas (ça arrive !), détournez-le pour l’entraîner dans une autre direction. Ou parlez-en ouvertement avec votre partenaire, mais ne l’abandonnez pas.

Par défaut, le premier nom mentionné dans l’en-tête du sujet répond en premier. Vous pouvez naturellement vous accorder sur un ordre différent.

Nous vous souhaitons un bon jeu. Amusez-vous bien !  
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Invité
 Re: Ain't no rest for the wicked (Alfonso & Endora)  Mar 20 Aoû 2019 - 23:12
Ain't no rest for the wicked

Le dieu de la mort observait par la bais vitrée de son bureau en hauteur la piste de danse, un verre à la main. Les jeunes femmes et hommes se déhanchaient tous étaient vêtus de déguisement plus loufoques les uns que les autres. Halloween était une période particulière, mais elle était surtout synonyme d’approche de la fête des morts, certainement la date la plus importante aux yeux d’Alfonso.

Le quadragénaire portait comme à son habitude un costume noir. Néanmoins, il avait fait un effort pour la fête païenne qu’était Halloween, sa main droite était celle d’un squelette. L’homme avait usé de son pouvoir pour faire disparaître l’avant-bras de son enveloppe mortelle au profit de sa véritable apparence, cette main symbole de la mort était accompagnée d’un bracelet typiquement aztèque.

Le patron du Las Calaveras ne faisait rien, à part boire et observer les mortels profitant de la vie, mais ces deux activités furent interrompues quand quelqu’un vint frapper à sa porte. D’une voix claire et grave, il ordonnait à cette personne de pénétrer dans son bureau, lieu où il pilotait ses nombreuses activités diverses et variées. L’homme qui entrait, était son fidèle second et homme à tout faire, Ramón Espinosa.

« Je suis désolé de vous déranger patron, mais il y a une femme étrange, elle observe avec insistance une de nos danseuses. » Disait le fidèle mortel.
« Nos ? Tu ne veux pas dire plutôt, mes danseuses ? » Le divin s’était retourné.
« Oui, vous avez raison, vos danseuses. » Le jeune homme était mal-à-l’aise.
« Ramón, je te taquine. Dis-moi qui c’est, je vais aller lui rendre une petite visite. » Le dieu de la mort souriait.
« C’est elle. » Le colombien désignait avec sa main depuis la baie vitrée en hauteur l'individu en question. « Celle qui a des cornes sur la tête. »
« Parfait, je te laisse retourner à tes fonctions. » Disait Alfonso mettant un terme à cette courte conversation.

Le seigneur du Mictlan quittait son bureau afin de prendre l'escalier de service qui l’amenait dans la zone de la boite de nuit. Le Las Calaveras possédait une grande piste de danse ainsi qu’un bar et de nombreuses tables pour ceux qui avaient les moyens de s’en offrir. La musique jouée était majoritairement à sonorité latine, mais ce soir il avait fait une exception acceptant des sons plus occidentaux. Tout doucement et toujours son verre à la main, il se portait à la hauteur de la femme que lui avait signalé Ramon. Un sourire se dessinait sur son visage.

« Bonsoir, très chère ! Vos cornes sont plus vraies que nature, souhaitez-vous boire quelque chose ? » Demandait le divin tout en mettant bien en évidence sa main squelettique.  

Le Ximénez ne connaissait pas cette divinité, il n’allait pas souvent à Sanctum et les rares fois où il avait séjourné dans ce haut lieu, il n’avait fréquenté presque aucuns autres dieux préférant rester dans ses ténèbres.
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Anonymous
Invité
 Re: Ain't no rest for the wicked (Alfonso & Endora)  Ven 30 Aoû 2019 - 22:27
Ain't no rest for the wicked

C’était tout simplement impossible, ce n’est pas encore l’heure, elle ne peut pas être déjà réveillé, j’en étais totalement sûr. Cela ne fait pas cent ans que je l’ai condamné au sommeil, elle ne peut pas être la jeune femme de 1919 qui avait tant compté pour moi et que j’ai du condamné à une malédiction terrible, afin de la protéger. C’est tout simplement impossible, Elle ne peut pas être déjà réveillée. Pourtant, elle était devant moi, il y a quelques secondes, c’est parfaitement impossible. Je dois en savoir plus. Par ou est-ce qu’elle est passée déjà ? Ah oui, je la vois, elle est entrée dans un club plutôt malfamé. Si c’est elle, je vais passer une excellente nuit, avant de lui dire bonne nuit pour encore cent ans et si ce n’est pas elle, je crois que ça va me mettre en colère.

Sur le chemin menant au club, plusieurs personnes ivres me félicitèrent pour mon déguisement de Maléfique et j’ai eu un léger sourire en continuant ma démarche, avec la droiture d’une femme puissante. Si seulement, ils étaient au courant que ce n’était pas un déguisement, mais réellement ma véritable forme. Les longues cornes noirs que j’avais sur la tête, ainsi que les deux superbes ailes de la même couleur étaient tout à fait réel et je me suis promis que si une personne me faisait encore la réflexion, j’allais cracher des flammes sur l’agaçant vers répugnant. On verra s’il me trouve toujours aussi bien déguisé avec des flammes collante lui brûlant la peau, jusqu’au plus profond de l’âme.
Alors que je commençais à pénétrer dans le lieu de débauche, je me suis faite alpaguée par le videur de cet endroit. Quand il posa sa main sur mon épaule, je l’ai regardé avec toute la fureur d’un dragon, avant de lui murmurer au creux de l’oreille : « Si tu me touches encore, je t’arrache le cœur pour le donner en pâture à ta répugnante marmaille. » L’homme comprit que ce n’était pas dans son intérêt de jouer avec moi et il me laissa passer pour me permettre d’entrer dans le bar. En pénétrant dans le lieu, j’ai eu une sensation de dégout me prenant aux tripes et j’ai quand même continuait à marcher, avant de me trouver un coin sombre pour pouvoir regarder la jeune femme qui lui ressemblait tant de loin.

Tout à coup, alors que je ne mis attendais pas le moins du monde, un homme vint à ma rencontre et je l’ai regardé avec une mine de dégout pour prononcer : « Je me disais bien que j’avais senti une odeur de charogne dans le coin » Mes yeux retournèrent vers la scène, pour regarder la danseuse. Tandis que j’avais l’esprit occupé à regarder les formes si appétissante de la jeune femme, une autre se présenta juste à côté de moi, avant de déposer un verre de vin devant moi, je lui tendis un billet et sans même la regarder : « Gardez la monnaie » La jeune femme ne partit pas et regarda mes cornes avec des yeux ronds pour me fixer : « Vos cornes sont tellement bien faites, j’aimerais connaitre le nom de la personne qui vous les a faite et vos ailes sont juste impressionnantes. Puis-je avoir l’adresse du créateur. » Tout en roulant des yeux, je me suis retourné pour la regarder avec un sourire empreint de sadisme et d’excitation : « Si je vous le disais, je serais obligé de vous découper en morceau, ce qui serait triste » Un rire sortit de ma gorge, un rire sans aucun amusement, juste diabolique et profondément effrayant.  Alors que je voyais la jeune femme tressaillir de peur, je me suis retourné vers l’homme qui m’avait importuné tout à l’heure. « Vous êtes encore là ? Je croyais que cette nuit était la vôtre, cher divinité ? Alors allez-vous amuser ailleurs » J’ai continué de regarder la jeune femme, avec les sourcils froncés et j’ai soupiré de plaisir en la voyant danser ainsi.
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