Le deal à ne pas rater :
Funko POP! Jumbo One Piece Kaido Dragon Form : où l’acheter ?
Voir le deal

Partagez

 Destructive Crazyness (Nailea & Leandra)

Cosmos
Personnage Non Joueur
Cosmos
Destructive Crazyness (Nailea & Leandra) Tumblr_p9npyrBLHO1uv9281o3_250
Destructive Crazyness (Nailea & Leandra) Tumblr_p9nqipE6Zd1uv9281o8_250

Faceclaim : Blasphemiæ Deorum
Crédits : gifs par Vocivus
Messages : 461
 Destructive Crazyness (Nailea & Leandra)  Mer 7 Aoû 2019 - 6:41

Destructive Crazyness


— ¡Ayúdame! ¡Ayúdame! Señorita Nailea, por favor… ¡Ayúdame!

C’est une Carmen aux yeux exorbités de terreur qui pénètre dans la grande salle du centre d’aide pour femmes. Qui tremble de tout son corps, pousse des petits cris hystériques. Verrouille nerveusement la porte derrière elle.
Et qui tient un couteau de boucher dans la main – vierge de sang.

Peu de femmes sont présentes en cette chaude après-midi d’août. Mama Quilla profite de son temps libre pour remplir le rôle sacré qui a toujours été le sien. La déesse protectrice peut être fière de ce qu’elle a accompli depuis sa réincarnation, pourtant récente. Les chansons dont elle a écrit les paroles passent régulièrement à la radio, paient les factures du centre qu’elle a créé.

Carmen fait partie des pauvres âmes que la vie a tourmentées. Son histoire ressemble tristement à beaucoup d’autres : immigrée clandestine originaire du Honduras, la jeune femme est tombée sous la coupe d’un Américain qui a profité d’elle. Abusé d’elle.
Grâce à Nailea qui lui a offert sa protection, Carmen semblait retrouver le chemin de la dignité. Dans quelques semaines, elle devrait enfin obtenir la citoyenneté américaine.

— Johnny… il… il v-veut me tuer… ¡Quiere matarme! crie-t-elle avant de fondre en larmes.


Johnny et Leandra viennent de se rouler une pelle assez longue pour creuser jusqu’en Antarctique.
Le quadragénaire au crâne dégarni prend son pied comme jamais avec cette gonzesse. Pourtant, sa liste de conquêtes est longue comme la béquille télescopique entre ses jambes – se vante-t-il souvent en des termes plus crus. En tout cas, Leandra assure beaucoup mieux que l’autre pétasse de Carmen. « Ma bouffeuse de tacos », comme il l’appelle. Car il appartient à cette catégorie d’hommes incapables de faire la distinction entre Mexicains et Honduriens. La catégorie des vrais mecs, ceux qui ont la cervelle vide et les couilles pleines.

Et dont une folie noire contamine le peu de matière grise qui lui reste, déjà grillée par une consommation excessive d’amphétamines et autres substances que les Niños de la noche distribuent comme des bonbons. (Les enfants aussi y ont droit, tant qu’ils crachent les biftons.)

Alors qu’il brûlait d’envie d’un nouveau rodéo avec Leandra, le baiser fatal de la mortifère déesse lui insuffle un désir de nature différente. Une soif de sang irrépressible.
Pourquoi Éris a-t-elle utilisé son pouvoir sur Johnny ? Discorde. Elle a ses raisons, ou s’est tellement shootée que même son organisme divin en ressent les effets.

Toujours est-il que Johnny ne songe plus à fourrer sa béquille télescopique à l’intérieur de Leandra ; il rêve de fourrer une lame dans un crâne humain, en passant par l’œil.
Pourquoi pas le sien. Ça doit être marrant de regarder son œil droit avec son œil gauche, non ? Et puis, il le mérite. Johnny le ressent dans ses tripes depuis quelque temps, le besoin de se punir, de s’automutiler.
Mais pour l’heure, Johnny a la haine. Une rage de dingue. De combattre et gagner coût que coût.

— Putain, t’as raison ! (Leandra n’a rien dit.) T’as putain de sacrément raison ! J’vais m’la faire, cette pute de Carmen ! J’vais m’la faire, elle et la pétasse du centre ! Bordel, j’vais TOUTES me les faire. Fuck yeah !


C’est ainsi que Johnny est allé « rendre visite » à Carmen alors qu’elle préparait le repas du soir dans la cuisine du centre d’aide pour femmes. Dégommant le vigile au passage.
Que la jeune femme s’est emparée d’un long couteau afin de se protéger. Qu’elle a couru jusqu’à la grande salle pour y trouver refuge.
Que Johnny a saisi la hache à incendie, suspendue à un mur, avec laquelle il fracasse frénétiquement la porte en bois.
Que les chocs font sursauter Carmen, dont le sac à main tombe à terre, répandant son contenu.
Qu’un sachet en plastique rempli de cachets de Gitche s’en échappe.

Quelques mines embarrassées parmi les femmes présentes.
À la terreur se mêle à présent le désespoir sur le visage de Carmen. Elle se met à genoux devant Nailea, joint les mains autour du manche de son couteau.

— Por favor… n’appelez pas la police… ¡No policía! J-j’avais… j’ai besoin d’argent !

Avec toute la Glitche en sa possession, Carmen pourra dire adieu aux États-Unis. Ou dire bonjour à une cellule miteuse de l’Oncle Sam, avec un fin matelas qui sent la sueur et la pisse pour seul ami.

— Espèce de salope ! hurle Johnny en abattant sa hache une nouvelle fois. Il glisse la tête dans le trou qu’il vient de créer au milieu de la porte. Fait rouler ses yeux fous. De la bave coule de sa lippe. Fallait pas me piquer ma putain de came !

Ou plus précisément, la drogue que les Niños de la noche ont achetée à des Gitchers, afin de la revendre avec un bénéfice juteux. Ce qui resterait de leur consommation personnelle, du moins.

Une drogue apaisante, relativement inoffensive, que Carmen écoulait discrètement au centre pour femmes à l’insu de Nailea.

Et Éris dans toute cette histoire ? Elle est là, non loin de Johnny qui a perdu la boule. Il porte un flingue à l’avant de son pantalon (un gros calibre, évidemment), dont il compte bien faire usage une fois qu’il aura laminé cette putain de porte.

Discorde. Discorde. Discorde. Discorde. Discorde.




Informations complémentaires :

Le contexte de ce RP aléatoire vous est proposé par @Godric Oathbridge. Vous pouvez le MP si un point du contexte vous turlupine.

Le staff n’interviendra pas au cours de ce RP. C’est à présent votre sujet, vous le gérez comme un RP ordinaire.

Si le contexte ne vous inspire pas (ça arrive !), détournez-le pour l’entraîner dans une autre direction. Ou parlez-en ouvertement avec votre partenaire, mais ne l’abandonnez pas.

Par défaut, le premier nom mentionné dans l’en-tête du sujet répond en premier. Vous pouvez naturellement vous accorder sur un ordre différent.

Amusez-vous bien ! Destructive Crazyness (Nailea & Leandra) 2101779645
Revenir en haut Aller en bas
https://blasphemiae-deorum.forumactif.com
Anonymous
Invité
 Re: Destructive Crazyness (Nailea & Leandra)  Mer 7 Aoû 2019 - 14:51

Destructive Crazyness


¿Qué hiciste Carmen?   Lui soufflais-je plus pour moi même que pour elle. Comment avait-elle pu ?… Je lui avais accordé ma confiance. Je lui avais ouvert la porte de chez moi. Je l’avais prise sous mon aile et elle… Elle avait bafoué l’une de nos règles… pour de l’argent, de l’argent que j’aurais pu lui prêter. De la drogue. Elle avait amené de la drogue ici. De la drogue volée qui plus est.

Je me sentais trahie. Comme jamais encore je ne l’avais été. Et elle pouvait le voir sur mon visage. On s’attaquait à mon centre, à cause d’elle, à cause de sa trahison.

Je me tournais vers les femmes présentes et sans un regard à Carmen. Je ne mettrais pas leur vie en danger, pas à cause d’une femme qui nous avait toutes trahies. Je leur ordonnais calmement de partir s’enfermer dans leur chambre et de dire à toutes les pensionnaires d’en faire de même, de pousser les armoires devant les portes, et de se mettre à l’abri. Il y eu un moment de flottement. Elles étaient terrifiées et les coups de haches , le bois volant dans la pièce en charpie n’aidait pas. Je secouais la première, jusqu’à ce qu’elle me regarde dans les yeux et se reprenne, pour en faire ensuite de même avec les autres.

C’était un vrai remue ménage. Carmen elle, ramassait les pilules qui s’étaient échappées de son sac. Je me maudissais intérieurement d’avoir laisser mon téléphone dans mon bureau, mais qu’importe. La police serait rapidement avertie. Le centre était sous vidéo-surveillance et je savais qu’à l’heure actuelle, le signal allait être donné, ou aura déjà été donné d’ailleurs.

Si elle était la cause de ce qui arrivait, si elle nous avait trahi, je me plaçais malgré tout devant la femme. C’était plus fort que moi, c’était instinctif.  La tête de l’homme se glissa dans le trou qu’il venait de faire, et je vis la folie qui s’était emparée de lui. Il hurla à travers l’interstice et mon poing se serre. Je n’ai pas d’arme, et je laisse bien volontiers son couteau de boucher à Carmen alors que je m’avance. Il me faut le toucher. Il faut que je le touche pour chasser cette folie qui l’anime. Cela ne réglera pas tout, mais au moins, cela le calmera. quédate detrás de mí . dis-je doucement à Carmen, avant de m’avancer vers l’homme. De la bave coulait le long de sa bouche. Nous allons vous rendre vos pilules. Mais il vous faut vous calmer d'abord Johnny. Je n'en veux pas ici, et elles vous appartiennent. Calmez vous et discutons d'accord? Encore un pas de plus. Je tends les mains bien en vue devant moi, pour qu’il comprenne que je n’étais pas un danger pour lui. Il était fou oui, mais avec un peu de chance, il restait en lui une once de lucidité, assez pour stopper en serait-ce que quelques secondes sa folie. Un contact, un simple contact c’est tout ce dont j’avais besoin.


ps / @Godric Oathbridge, tu es un grand malade  Destructive Crazyness (Nailea & Leandra) 3114781030

Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
 Re: Destructive Crazyness (Nailea & Leandra)  Jeu 8 Aoû 2019 - 1:40
DESTRUCTIVE CRAZYNESS

Johnny n'est pas vraiment la recrue la plus futée des Niños, mais c'est pas ce qu'on attend de lui - il est bon pour frapper fort, il vise pas trop mal et surtout, il pose pas de questions tant qu'il a sa dose. Tout ce qu’Éris aime : l'exemple parfait du mortel qui a clairement été fini à la pisse. De la chaire à canon. De quoi faire grossir les troupes pour une semaine ou deux, avant de l'envoyer se casser les dents dès la première boucherie. Et à Philadelphie, on manque pas d'occasions.

Mais Johnny, il a aussi ce petit quelque chose dont elle raffole - et il s'agit pas de son membre certes respectable mais très secondaire puisque le sex appeal ne fait clairement pas partie de ses rares qualités. Johnny, comme beaucoup de mecs et en particulier ceux de sa génération, il est pas fichu de contrôler ses émotions. Alors quand elle apprend que son ex gonzesse s'est tirée avec la dose de gitche qu'il était sur le point de ramener aux Niños de la noche, Éris comprend vite que ça va être du gâteau.

Un putain de gros gâteau bien gras avec une belle cerise par dessus. Elle va s'empiffrer, et c'est grâce à ce sacré Johnny.

Il suffit de coller sa bouche à la sienne, certes c'est pas du grand art et il embrasse pas comme un dieu (mais même eux, ce sont pas toujours des maîtres du french kiss après tout), le résultat est quand même là : elle le dévisage, yeux rougis par l'opium qu'elle s'est enfilée toute la journée, à l'affût de ce moment où il perdrait les pédales et sentirait la soif de sang chauffer ses veines. Et ça loupe pas.

C'est parti pour le grand show. En plus, cette Carmen, elle crèche dans un centre d'aide aux femmes. Du pain béni. Quand ils entrent là dedans et qu'elle entend les premiers piaillements, elle est parcourue de frissons enchantés. Elle enjambe le corps du vigile, baissant ses lunettes de soleil sur son nez et sa capuche. Faudrait pas non plus qu'on la reconnaisse sur les caméras de surveillance ; son abruti de chien d'attaque les a pas remarqué, en revanche. Tant pis pour sa gueule. Elle commençait un peu à se lasser de lui, ce serait sûrement sa dernière soirée chez les Niños mais il partirait en grande pompe. Comme toujours.

Alors qu'il entreprend de défoncer la porte à coups de hache, Éris s'allume une clope. Elle fait le tour de la salle et envoie se briser quelques verreries au sol au passage. Elle est perplexe quant à l'utilité d'un tel endroit ; ces bonnes femmes finiraient de toute façon de nouveau à la rue, ou droguées, ou renvoyées dans leur pays. La misère et la souffrance les attendent à tous les coins de rues.

« Notre putain de came, chéri, qu'elle rectifie distraitement en entendant les réclamations de Johnny. »

Elle a dépensé une sacrée thune pour cette dose de gitche. Surtout, son vendeur refuse de lui en filer encore avant un moment pour des questions de discrétion et ça ne lui va vraiment pas comme en atteste les discrets tremblements de ses doigts. Au final, elle fait peut-être pas ça juste pour le fun. Avec la discorde, c'est toujours difficile à dire.

Soudain, le son d'une voix de l'autre coté du battant attire son attention. Elle tend l'oreille, un sourire goguenard aux lèvres.

« Oh, vraiment ? On veut jouer les héroïnes ? lâche-t-elle plus pour elle même qu'autre chose. Recules, trésor. »

Il obéit, visiblement un peu secoué par les mots sensés de cette inconnue. Saisissant son visage entre ses doigts, elle l'embrasse à nouveau avec vigueur, histoire de rallumer la flamme et pas juste dans son pantalon. Ses doigts s'attardent sur le contour de ses lèvres, alors qu'elle prend soin d'insuffler dans chacun de ses mots le vent de la discorde.

« Écoutes pas cette conne, elle veut t'entuber. Elle se croit plus maligne que nous alors qu'elle se pisse dessus. Montres-moi ce que tu sais faire, Johnny. Cette salope de Carmen te l'a mise à l'envers, alors tu vas entrer là dedans et lui faire sa fête. »

Bon. Trêve de blabla. D'un bon coup de pied divin, elle achève la porte, qui tombe avec fracas. Johnny a le visage tordu par une fureur guerrière qui n'a rien de naturelle, alors qu'il lâche la hache pour dégainer son flingue et avancer en direction de la première cible qu'il trouve.

Éris entre avec nonchalance derrière lui, ramassant l'arme au passage - ça peut toujours servir. À travers ses lunettes un peu trop opaques, elle tente de discerner les occupants de la pièce tout en tirant sur sa clope.

Mais la vérité, c'est qu'elle n'a aucune intention de participer, pas pour le moment. Elle prend beaucoup trop son pied à mater les dégâts provoqués par ses actes. Jusqu'où irait Johnny ? Voilà le véritable clou du spectacle, l'excitation de ne pas savoir comment terminerait cet acte. Une seule certitude : dans le chaos.

Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
 Re: Destructive Crazyness (Nailea & Leandra)  Dim 15 Sep 2019 - 17:48

Destructive Crazyness


Johnny n’était pas tout seul. Je ne pouvais pas cacher ma surprise en entendant la voix d’une femme. Comment pouvait-elle se trouver avec un tel homme ? N’avait-elle aucune estime pour elle même ? Et surtout pourquoi ? Pourquoi s’en prenait-elle à mon centre ? On allait leur rendre leur putain de drogue. Je n’en voulais pas comme je venais de leur dire. C’était elle qui menait la barque. L’homme fou recula quand elle lui demanda, tel un bon toutou. Carmen elle même était surprise. Elle ne comprenait sans doute pas la raison qui poussait celui qui était jusque là son « homme » nous seulement avec une autre mais surtout aussi obéissant. Car soyons honnête, je savais très bien que dans ce couple qu’il avait formé, c’était lui qui portait la culotte. J’avais réellement échoué avec la jeune femme, sur tous les tableaux. Elle était retombée dans la drogue. Elle la refourguait ici. Et en plus elle était au service d’un homme violent. Ce constat me laissait un fort goût d’amertume dans la bouche. En parlant de bouche, à travers le trou fait à coup de hache, nous pûmes admirer le baiser des deux criminelles, un baiser qui arracha une supplique à Carmen. Pathétique. Elle avait perdu toute ma sympathie et ma protection. Je n’étais pas une sainte, loin de là. Et je ne tendais qu’une fois la main. Si on me la mordait, je me détournais. Si elle n’avait pas été ici, dans mon centre, je l’aurai vivré à son propre sort. Mais là, j’avais d’autres personnes à protéger. Je devais ne serait-ce que gagner du temps, et leur laisser le temps d’évacuer et d’appeler la police. Et tenir, tenir jusqu’à leur arrivée… Contrairement à la porte qui finit par céder. En même temps, elle n’était pas faite pour retenir un assaut, même si la prochaine, elle, le sera.

L’homme lâche sa hache, n’y trouvant plus d’utilité. Après tout il a un flingue, et c’est bien plus dangereux, même si la femme, elle n’hésites pas à récupérer l’arme abandonné par l’homme. Ils sont tous les deux armés. Carmen pousse un cri de terreur avant de se précipiter vers son sac sans doute pour y chercher une arme à feu qu’elle avait du lui voler. Décidément… Elle est à quatre pattes, face à l’homme qui la domine. Il est arrivé vite jusqu’à elle et je le vois la soulever par le cou tout en l’insultant. Carmen laisse échapper l’arme, tout en criant de douleur et en se débattant. L’autre femme elle, fume en « regardant » le spectacle, comme si elle était dans une salle de cinémas. Elle me donne envie de vomir. Je n’hésites pas un instant. Alors qu’il « s’amuse » avec Carmen en l’étranglant après lui avoir tiré une balle dans le ventre, je récupère le couteau et je le plante dans le flanc de l’homme. Une fois, deux fois, trois fois. La colère et la montée d’adrénaline me donne la force dont j’ai besoin. Il lâche Carmen et j’en profite pour poser mes mains sur sa tête. Je puisse dans mes pouvoirs pour entrer dans sa tête. Je pourrais lui rendre la raison, mais cela me demanderait trop d’énergie. Alors je fais tout le contraire. Il est déjà plus que fou. Il ne me faut pas grand-chose pour le pousser dans ses derniers retranchements. La folie l’envahi de plus belle mais cette fois de l’intérieur. Il se laisse tomber à terre, à côté du corps qui ne bouge plus de Carmen et dont le sang s’écoule à grand flot sur le sol. Sans doute pourrais-je la sauver. Mais je ne le fais pas. Elle a signé son propre arrêt de mort. Je recule et balance aux pieds de la femme sa putain de drogue. C’est bien ce que vous vouliez non ? Je ne suis pas une meurtrière non, mais je la tuerais si elle ne me laissais pas d’autre choix avec toutes les armes que je possédais. Que ce soit le couteau ou mes pouvoirs sur la psyché. J’ai eu un peu de mal avec Johnny car c’est un homme. Mais elle elle est femme alors j’aurais encore moins de mal à la pousser à la folie. Et j’en tirerai une grande joie. Cet endroit est sous ma protection. Partez d’ici avant qu’il ne soit aussi trop tard pour vous. C’est la déesse qui parle et non plus l’humaine. Ma voix est froide, puissante, déterminée.



ps : Désolée pour le retard !

[/quote]
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé
 Re: Destructive Crazyness (Nailea & Leandra) 
Revenir en haut Aller en bas

 Destructive Crazyness (Nailea & Leandra)

Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» O Fortuna - Nailea
» Nailea Flores ☾ You don't own me ☽ Moon
» It's time to work... | Nailea
» Nailea Flores ☾ Je suis un Homme et je mesure toute l'horreur de ma nature ☽

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Blasphemiæ Deorum :: Coliseum :: Limbes :: Récits inachevés-
Sauter vers: