May the Light be with you, forever ►Flashback◄ [Aera Whiteford]
Kendall McLight
Âge et date de naissance : 34 ans d'apparence. Né un 16 août au 3e siècle avant J.C Métier/occupation : Généticien-consultant pour la police scientifique/Musicien dans un petit groupe celte à ses heures perdues Cible touchée par Cupidon : Si cupidon frappe les hommes, il est également capable de piquer les fesses des dieux et leur insufler l'amour. Mais à défaut d'en avoir vu de toutes les couleurs, il aura tendance à privilégier l'amusement plutôt qu'une loyauté qui pourrait se montrer oppressante.
Panthéon d'origine : Panceltique Divinité incarnée : Lugh : Dieu de la lumière aux multiples arts dit le Polytechnicien : maître des arts et des sciences, de la magie, de l'artisanat et des combats. Alliance : Indépendant, neutre. Pouvoir(s) :
Médecine Dioscurique:
La médecine qui rassemble tous les savoirs des médecines divines, druidiques, alchimiques, magiques, contemporaines, etc. Capable de rendre possible l’impossible sur un être vivant ou divin.
Polytechnie:
L’art et la manière de créer n’importe quoi à partir d’un brin de lumière créée par le Samildanach et d’un peu d’imagination de sa part pour que celle-ci prenne une forme réelle mais il ne s'agit en réalité que d'une projection holographique à type de rayonnement lumineux. Cependant, ce pouvoir n'a qu'une projection à la vue de son utilisateur. Lugh ne pourra pas projeter des illusions à un endroit qu'il ne voit pas. S'il se concentre suffisamment l'hologramme peut sembler si réaliste que ça peut jouer sur le subconscient si l'esprit est faible, mais s'il y a le moindre obstacle qui coupe la lumière entre son créateur et la cible, l'hologramme se déforme et Lugh perd sa concentration.
Clarté omnipotente:
En utilisant la réflexion de la lumière naturelle, son corps entre en résonance avec les particules lumineuses pour augmenter sa vélocité à la vitesse de la lumière. En revanche, son pouvoir l'épuise si la lumière est amoindrie. À l'inverse, plus il aura de lumière plus l'utilisation de sa vélocité lui sera aisée et il n'aura pas d'affaiblissement pour l'utiliser.
Point faible :
Ar-éabdair & Dagda:
Ar-éabdair ou Gea Assail est sa lance magique fétiche en bois d'If, dotée d’une conscience pour qui il voue une allégeance absolue, cependant, cette lance est capricieuse et le pousse parfois à agir contre sa volonté et de manière obscure. Ar-éabdair peut également détruire sa conscience et tout ce qui se trouve autour d’elle s’il ne la plonge pas dans le chaudron du Dadga rempli de sang. Actuellement, il a trouvé la combine en la gardant dans un pendentif -créé exprès-; petite pointe d'or enfermée dans le chaudron miniaturisé en petite capsule de verre contenant du sang camouflé en un liquide carmin aux paillettes d’or. Tant qu’il l’a autour du cou, il ne risque rien, ni aucune destruction massive de cette lance capricieuse.
De plus, il est extrêmement sensible aux arts, dont la musique, et possède une oreille absolue, la moindre fausse note le dérange énormément et a tendance à le rendre instable au point d’en avoir des migraines et parfois des nausées. Il est également allergique à la connerie et déteste le langage grossier.
Il avait l’habitude de venir se ressourcer à cet endroit quand il venait sur Sanctum quand on avait besoin de lui. Quand il préférait avoir un peu de tranquillité et de repos à défaut de parcourir Les parcs de Philadelphie dans le but d’avoir des bains de lumière. Ca lui permettait également de faire le point sur les diverses situations qui ébranlaient les humains depuis quelques temps. Réfléchir sur les diverses enquêtes qu’il avait avec la police, puis, pour lui-même, réfléchir à la situation de son panthéon. Sa famille qu’il cherchait à faire perdurer dans le temps avec ces nouveaux mouvements sociaux. C’est fou comme les choses évoluent, mais pas forcément dans le bon sens du terme, du moins de son côté c’est ainsi qu’il le voyait. Pourtant, il venait rarement sur Sanctum, préférant largement éviter les divins et leurs petites affaires. En tant que guérisseur, il assurait une certaine forme de neutralité. Il ne s’attardait pas sur les histoires des uns et des autres, et il avait mieux à faire que s’embourber dans une histoire entre différents dieux. C’est pourquoi il préférait rester à l’écart, faire ce pourquoi on lui avait demandé de venir, et flâner ensuite un peu avant de repartir.
Profitant pleinement du soleil, il s’était échoué sur la plage, allongé dans une tenue relativement confortable mais sobre. Jean ample, chemise par-dessus le jean et veste en cuir brun avec chaussures de marche qui fait bien habillé. Le soleil était tellement lumineux et apaisant qu’il avait finit par s’endormir, une petite sieste qui le fit partir dans de lointains souvenirs où il avait encore toute sa puissance et sa gloire.
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Des pouvoirs qu’il avait fini par ne plus pouvoir utiliser à force de perdre en puissance et en croyants. Il voyagea jusqu’en France pendant les belles périodes de la renaissance, avant la révolution Français où il avait passé nombre de bons moments. Cette époque où il était un noble Irlandais venant rendre visite au roi soleil. Ces instants où même le dieu de la lumière, Làmhfada, avait accordé sa bénédiction au jeune roi lorsqu’il n’avait que onze ans. Trop jeune pour encore pleinement gouverner, le dieu celte avait été de bon conseil sans non plus être trop présent autour du roi. Une certaine attraction avait amené le plus jeune à venir le voir quand il en avait besoin, à défaut de ses propres conseillers. C’était comme si le jeune homme avait besoin de se changer les idées et de voir d’autres personnes que ceux qui l’entouraient constamment. Et parce que Lugh était un très bon musicien. La première fois qu’ils s’étaient rencontrés, c’était dans les jardins de Versailles, le blond jouait de la harpe avec tant de précision que ça faisait pleurer les personnes qui l’écoutaient, ou quand il changeait d’air, les faire rire, et même dormir.
C’est ces moments où Lugh jouait pour le roi et sa cour qu’il appréciait tant. Il pouvait rencontrer des tas de personnes et faire leur connaissance sans trop de problème, permettant en prime aux Français d’en savoir plus sur les celtes, tout en restant relativement discret en faisant croire que ce sont d’anciennes mœurs qui ont perduré bien malgré le christianisme. C’est à cette période là qu’il avait rencontré Amaterasu, une déesse de la lumière elle aussi. Il se souvient encore de sa rencontre avec la déesse, cela s’était fait tellement naturellement qu’il avait eu l’impression qu’ils se connaissaient depuis bien longtemps alors que pas du tout. Lugh pouvait jouer longtemps sans s’épuiser ni même se lasser de la musique qu’il faisait partager aux autres. Mais quand il se retrouvait seul c’était le meilleur moment pour user de sa voix et chanter en hommage à sa famille. Ce soir-là, il ne l’avait pas vu arriver et il chantait principalement pour lui. Pas qu’il avait honte qu’on l’entende, seulement il préférait garder ses chants pour lui, car sa voix était trop grave pour qu’elle soit réellement appréciée à cette époque. Sauf peut-être pour certaines oreilles.
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