♆ Enveloppe charnelle ♆

Âge : Le développement de son corps incarné s’est arrêté à sa vingt-quatrième année.
Date et lieu de naissance : Le 15 mars 1960 dans le charmante ville de Pembroke au Pays de Galle.
Lieu de résidence actuel : Dans le quartier historique de Philadelphie, en compagnie des deux seuls amours de sa si longue vie.

Occupation : Cecil est le gérant du Coffee Shop "Moon and Starts", qu’il dirige avec ses deux femmes. Dans l’ombre, l’homme est consultant et indic pour le FBI, ne parvenant pas à mettre définitivement un mouchoir, sur son côté chevalier servant.

Orientation sexuelle : Ses goûts penchent pour les deux sexes, cependant son amour demeure inconditionnel pour ses deux femmes. Et rien ne saura l’en détourner.
Situation matrimoniale : Marié et en ménage avec les deux Zorya Mercy et Tony.

Nature : Divinité.

Dieu incarné : Le Dieu Slave de la lune et père des étoiles, Myesyats.
Panthéon du dieu : Slave.

Alliance : Moderne.
Rang au sein de Sanctum : Dessinateur, son sens artistique s’exprime bien plus facilement avec des crayons qu’avec un pinceau, bien qu’il ne cherche pas à se limiter. Paysagiste, naturaliste, portraitiste… Cecil aime exprimer son talent, pour ce que son œil cherche à immortaliser. Bien que ses muses éternelles reste Mercy et Tony, il a part mainte fois été sollicité par les autres divinités, à Sanctum, pour être immortalisé par ses soins.

Pouvoirs  :

Perce rêve : Dans cette frontière entre le conscient et l’inconscient, Cecil est capable de cheminer parmi les songes. Il peut veiller sur les rêves, comme les influencer, ou les transformer en d’affreux cauchemars. Contraint par la volonté de la personne visée, ceux-ci peuvent paraître plus ou moins réels, semblable à de véritables illusions. Illusions dans lesquelles il lui arrive de se perdre lui-même. Lui réclamant toute sa concentration, cette capacité se limite à une personne à la fois. Le toucher, ou une grande proximité rend l’emprise de son pouvoir plus forte, comme l’importance qu’a la personne visée dans son cercle social. Connaître le nom, ainsi que le visage de sa "cible" suffit pour l’atteindre.
Il a conclu par un lointain passé, un rituel avec les Zorya, leur permettant de se retrouver parmi les songes, où qu’ils soient, si par malheur ils venaient à être tous trois séparés.  

Plaine gelée : Pleinement contrôlé, il peut provoquer un froid extrême, pire qu’une nuit dans les toundras russes, sur une portée de six mètres, et un rayon de trois mètres. Plus on se trouve proche, plus le froid s’en ressent. Cecil peut tout aussi bien faire baisser la température de façon constante, s’il ne souhaite pas que cela se remarque, comme de façon très brutale, selon l’urgence du moment. Son toucher provoque également une brûlure intense, proche de l’engelure. Sa peau s’en ressentant naturellement plus fraiche qu’un mortel normal, il est loin d’être un congélateur ambulant. Ce pouvoir offensif étant très énergivore, il lui est impossible de le maintenir bien longtemps, selon la manière dont il l’emploie.  

Attraction : Attirance naturelle, presque magnétique, en sa présence, les langues ont tendance à se délier un peu plus facilement. Si tant est qu’il pose les bonnes questions, ou se trouve là au bon moment. Les mourants sont étrangement bien plus touchés par son pouvoir.

Point faible :

Empathie profonde Son fort intérêt pour son prochain et son besoin d’aider les mortels, font qu’il lui arrive de se perdre dans la spirale des émotions, les ressentant de façon bien trop forte, comme un hypersensible. Submergé il peut se perdre dans ses propres pouvoirs, surtout celui des songes.

♆ Mythes et légendes ♆

Tendre ♆ Artiste ♆ Esprit libre ♆ Curieux maladif ♆ Anticonformiste ♆ Chevalier Blanc ♆ Fidèle ♆ Eclairé ♆ Téméraire ♆ Débrouillard ♆ Paternel ♆ Nocturne ♆ Altruiste ♆ Somnambule ♆ Polyglotte ♆ Sociable ♆ Drôle ♆ A côté de la plaque

♆ On lui reproche souvent d’être trop gentil, trop serviable, presque trop sociable, pour son propre bien. Que sa bonté et son altruisme le perdront… S’ils savaient que ça a déjà été le cas, et qu’il en a payé un prix élevé. Seulement, c’est plus fort que lui, au-delà de tous principes moraux, Cecil ne peut pas rester à ne rien faire et seulement détourner les yeux.  Sa témérité lui a valu sa mort, par un lointain passé, qui lui a laissé un goût plus qu’amère. Cependant, aujourd’hui, ça lui permet d’apprécier bien plus chaque moment passé auprès de ses femmes. Dont rien, ni personne, ne saurait le détourner. Bien que de cette mort, il en paie encore les pots cassés. Sa réputation d’oiseau de nuit, n’est pas seulement due au fait de son incarnation de déité lunaire. Son propre pouvoir de perce rêve lui joue encore de vilains tours, l’amenant quelques fois à des accès de somnambulisme. Hormis cela, Cecil préfère la nuit, pour son calme relatif, pour l’envers du décor qu’elle offre sur la vie. Bien loin des obligations et autres agitations de la journée. Surtout qu’il peut sortir sans écran total ! Loin d’avoir la même allergie au soleil que Tony, seulement que l’astre solaire a une fâcheuse tendance à faire rougir sa peau bien trop blanche, le faisant bien plus ressembler à une écrevisse passée à la casserole, qu’à une figure de mode, à la peau parfaitement bronzée. ♆

◙ C’était comme marcher au milieu d’un rêve, parce que c’en était un. Cependant, comme tout rêveur, il n’en avait pas conscience. Parce qu’il ne le souhaitait pas. Se bercer d’illusions est toujours plus doux que d’affronter la réalité. Surtout lorsqu’elle vous a marqué au plus profond de la chair. Laissant un goût amer, comme celle de la trahison. Bien plus douloureux qu’un coup de poignard dans le dos, si seulement on avait eut la grâce de lui infliger.
Est-il ironique pour un berger d’avoir à son tour besoin d’un guide ? Suivre le chemin qui lui traçait ses enfants à travers les cieux, pour le tirer de ses chimères. Pourtant le Dieu lunaire préférait s’enfoncer un peu plus encore à travers sa descendance, qu’était les étoiles, pour retrouver celles qui brillaient le plus à ses yeux. L’étoile du matin, dont il trouvait toujours le sommeil en son sein, dés le point du jour. Puis l’étoile du soir, dont il trouvait toujours la chaleur des bras à son réveil. Demeurant inlassablement le prisonnier volontaire dans cette boucle, où ils n’étaient tous trois riens d’autre, que les guides divins des tribus guerrières slaves. Bien loin du destin des hommes et de leur cruel jugement.
Mais quelle douce punition de ne jamais savoir s’en détacher, quand bien même ceux-ci leur avaient peu à peu tourné le dos, pour ployer le genou devant un Dieu unique. Contraint de jouer leur rôle, de se trouver une place dans leur monde terrestre, au sein de la noblesse. Devenu proche du Tsar, Myesyats s’était trouvé un nouveau but, dans son rang de chef de la sécurité de l’empire. Mais il connut également une fin mortelle, dans son zèle à déjouer l’assassinat de son maître. Si le poignard, retrouvé fiché dans son cœur, avait put être la cause de son trépas, sans doute son esprit n’aurait pas choisi la fuite. Loin de la douleur qu’il lui arrivait encore de ressentir, quand il se trouva paralysé par le poison qui lui brûla la gorge, perça son estomac et lui tordit les intestins, se rependant insidieusement à travers son corps, comme une araignée tisse sa toile…
Alors même si c’était un mensonge, son propre mensonge, le dieu lunaire préférait encore marcher à travers les plaines gelées de la toundra, qui ne portait pas encore le nom de Russie, tant qu’il trouvait toujours ses deux femmes au bout de son chemin.

◙  Cinead ouvrit les yeux sur les poutres du plafond, l’esprit encore assaillit par des images de plaines enneigées, qui n’appartenaient pas à l’Irlande, et quelques maux qui lui tiraillaient encore les entrailles. Cela faisait plusieurs mois que ça lui arrivait, comme des réminiscences d’une vie antérieure, qu’il aurait vécue il y a plus de onze siècles de ça. Seulement, sa chère moitié et son ventre qui s’arrondissait de jour en jour, ne croyait pas en la réincarnation. Plutôt dans les faits que les champs ne se labouraient pas tous seuls, quand bien même elle en priait fortement le Seigneur. Elle croyait en ça, et dans le fait que l’opposition persistante des Fitzgerald, contre les anglais, n’allait leur apporté que des malheurs. Ce à quoi Cinead ne pouvait lui donner tort. Cependant, en tout bon Irlandais qui respecte ses origines, ainsi que sa terre, il ne pouvait pas accepter de se faire spolier plus longtemps par les anglais.
Mué par un élan patriotique, qu’il s’ignorait jusqu’alors, l’homme confia sa femme Hoela à son beau-frère pour rejoindre la révolte menée par le comte de Tyrone.
Fort de leurs nombreuses victoires contre les anglais, Cinead crut qu’il pourrait enfin rentrer chez lui, auprès de sa famille. Trop tard… L’ennemi ayant atteint l’Ulster, il assista impuissant au massacre de la population. Sa famille fit partit de la masse des victimes innocentes et Cinead en perdit peu à peu toute combativité, comme la raison. Proscrit par ce qui restait des siens, le veuf se laissa doucement sombrer dans un état de semi conscience, ou plus rien ne semblait pouvoir l’atteindre. Tandis que dans le fond de son esprit, une lueur jusque là trop faible pour briller, s’éveilla de nouveau, motivé par une seule idée : retrouver coûte que coûte ce qu’il avait perdu.
La rébellion totalement endiguée par les anglais, sa femme est sa fille morte, plus rien ne le retenait en terre Irlandaise. Il profita donc du départ d’O’Donnell pour l’Espagne, pour prendre la mer vers ce pays où quelque chose l’attirait.

◙ L’Espagne de ce début du dix-septième siècle ne lui apporta rien d’autre, que la décadence d’un pays, qui autrefois avait connu une économie plus que florissante. Ça et la certitude qu’il avait laissé son humanité dans les terres d’Irlande. Les années s’égrainaient et il voyait une génération vieillir, pour mourir et laisser place à la suivante. Tandis que sa propre image semblait toujours lui renvoyer le même reflet. Les ans coulaient sur lui, aussi sûrement que l’eau coule sur une pierre, sans jamais l’user. Suspendu dans un autre temps. Car celui-ci n’avait plus aucune emprise sur lui, et ce depuis bien longtemps…
Parfois ses rêves se faisaient de plus en plus précis, cependant ses recherches demeuraient infructueuses, comme s’il était arrivé bien trop tard. Trop tard… Exactement comme pour Hoela et Dylis. C’était une punition divine, pour les avoirs abandonnées et conduites à la mort. Une mort que Cleandro – ainsi s’était-il rebaptisé – avait par mainte fois souhaité. Pour enfin les rejoindre, puis leur demander pardon, les genoux à terre. Si tant est qu’elles puissent un jour lui accorder, même dans l’au-delà. A moins que cette punition, qu’il pensait mériter, ne finisse par le précipiter en enfer, après presque cent ans d’errance, qui le poussa à remonter vers d’autres terres. Vers la France.

◙ Seulement l’enfer était sur terre et il s’y trouvait. La punition de sa si longue vie prenait fin, un jour de mois de novembre de l’année 1916, sous le regard d’un ciel noir. La pluie imprégnait ses vêtements, le gelant jusqu’au os, mêlant son sang à la boue d’un terrain au paysage ravagé. Un autre lieu, une autre guerre… Les mousquets et chevaux avaient été remplacés par la mécanique destructrice des chars, crachant un feu qui lui perçait les tympans. Tandis qu’il se prenait à penser avec ironie, qu’il aurait préféré mourir en Ulster, plutôt qu’en Somme. Une part de lui pouvait à présent se libérer et retrouver ce qu’il avait perdu. Alors qu’une autre, sortait enfin de la spirale de ses rêves.

◙ A l’ère où l’informatique se faisait une place dans chaque foyer, poussant certains à adopter la technique par attrait de la nouveauté, d’autres restaient parfaitement hermétiques à tous ces bouleversements. C’était le cas de Cecil, jeune étudiant en art, qui préférait encore s’abimer les yeux sur du papier et noircir des pages à s’en corner les doigts et tâcher la peau, que d’avoir affaire à un écran et un clavier. C’est ce qui attira le regard de Myesyats. Un esprit libre restant accroché à ses convictions. Lui qui pendant soixante huit ans avait erré, les pensées encore assaillies par la fin de sa dernière incarnation, à la recherche du réceptacle parfait.

◙ Avec le temps, le Dieu lunaire finit par se rendre à l’évidence que ses rêves ne lui suffisaient pas, pour parvenir à retrouver ses femmes, dans ce monde devenu si vaste, par sa population. Il n’avait pas d’autres choix que s’adapter et de se servir des moyens mis à sa disposition. Abandonnant peu à peu l’art, qui resta un loisir évasif, Cecil tenta le concours de la police, où il fut reçu avec d’excellentes notes.
En deux ans, le jeune homme se fit remarquer par son implication et ses capacités à réunir des renseignements de manières efficaces. Il fut recruté par la National Drugs Intelligence Unit. Cependant, Cecil comprit vite que pour retrouver celles qu’il cherchait, avec toute la force du désespoir, il devait ratisser plus large. Avoir plus d’ambition, comme lui disait son père. En 1990, il quitta le Pays de Galle pour Manchester, où il intégra la prestigieuse agence d’Interpol.

◙ Il avait cru avoir rêvé éveillé, lorsque ses yeux avaient accrochés sur l’écran, ces visages qu’ils connaissaient par cœurs. Son collègue l’avait presque surpris, en train de caresser l’image du bout du doigt, alors qu’il se retenait de pleurer. Ce n’était pas la première fois que Cecil utilisait le matériel sur son temps libre, pour retrouver les Zorya. Après tout, c’est pour ça qu’il se trouvait dans ces bureaux, au lieu de faire de l’illustration, ou il ne savait quoi encore. Et pourtant, il décida de suivre son instinct…
L’agent avait prit son mal en patience, lorsqu’il attendit son transfert, pour les bureaux des Etats-Unis, rongeant son frein et priant les étoiles pour qu’il ne se soit pas tromper. Cecil ne s’accorda aucun répit, s’autorisant à dormir que pour fouiller ses rêves, cherchant à les atteindre, quoi qu’il en coûte.
Ça lui avait prit onze ans. Onze ans dans cette vie, plus de deux cent ans dans une autre… Plus de seize siècles d’errance, loin de celles qui faisaient sa vie, depuis le commencement. Mais lorsqu’elles furent en face de lui, enfin tangibles et réelles. Bien plus réelles que ces pâles copies, dont il avait cherché le réconfort dans ses songes, dans lesquels il s’était sciemment enfermé, Cecil fut alors submergé par les pensées qui avaient étreint l’esprit de Cinead, alors que la mort l’emportait enfin. Le pardonneraient-elles, pour avoir choisi la fuite, plutôt que de revenir auprès d’elles ? Le pardonneraient-elles de les avoir abandonnées, pendant si longtemps ? Lui-même commençait à voir du mal à se pardonner, en constatant l’état dans lequel elles se trouvaient.

◙ Philadelphie leur offrait de nouvelles possibilités, pour tout recommencer. Cecil avait décidé de raccrocher sa plaque d’Interpol, pour se consacrer essentiellement à Tony et Mercy. Après tout, ils avaient tous trois énormément de temps à rattraper, et les deux jeunes femmes méritaient un peu de calme et de stabilité.
Ensemble, ils mirent sur pied une petite affaire de coffee shop, partant complètement de zéro, qu’ils nommèrent le "Moon and Stars". Cela marchait parfaitement bien. L’émotion des retrouvailles passée, Tony, Mercy et Cecil vécurent bien plus proche que jamais et surtout inséparables. S’organisant des sorties nocturnes, pour s’adonner aux rituels Salves de leur ancien temps, se rapprocher de leurs enfants, ainsi que de la nature, qui se faisait de plus en plus désirer, dans ce monde qui s’industrialisait de plus en plus. Cependant, comme on dit : chasser le naturel, il revient au galop.

◙ Gérer un café, s’occuper de son foyer, jouir de son potentiel artistique à Sanctum, glaner quelques prières en usant du territoire des News Gods… En effet, en ce vingt-et-unième siècle, internet regorgeait de personnes de plus en plus crédules. Jardiner selon le calendrier lunaire, se couper les cheveux à la pleine lune pour une meilleure repousse, et autres superstitions tout autant loufoques qu’infondées… Il suffisait simplement de donner plus de visibilité à tel ou tel article, poster le bon commentaire sur tel blog… pour glaner quelques prières. C’était facile de se servir de leur naïveté, bien qu’il n’en soit pas très fier, c’était toujours ça.
Cependant, tout ça ne suffisait plus à Cecil. La certaine inactivité de son esprit le démangeait, tout comme l’action, dans laquelle il s’était plongé corps et âme par le passé. Même si cela lui avait coûté par deux fois la vie. Interpol avait su réveiller son potentiel d’enquêteur, comme celui de se fondre dans l’esprit des criminels.
En effet, l’étude des modes opératoires l’avait poussé à s’intéresser un peu plus à la psychologie, l’étude du comportement… Cecil avait entendu parler du Profilage, et en arrivant aux Etats-Unis, le jeune homme avait eut l’occasion d’assister à une conférence, donné par le FBI. Ce qui l’avait définitivement fait tomber dedans, aussi sûrement qu’Obélix dans la potion magique. De plus, parlant le Russe, de part ses origines, l’Espagnol, dû à son passage en ces terres, le Français, pour l’avoir parcourus du sud au nord et l’arabe par attrait, cela avait toujours fait de lui un atout non négligeable. Il ne pouvait s’empêcher de vouloir à tout prit remettre à profit ces capacités, pour ce qui l’avait depuis toujours motivé : venir en aide aux mortels.

◙  Jouant de son amitié avec le Dieu Tyr, actuellement agent du FBI, il lui demanda, le supplia, de se servir de lui comme consultant, en toute discrétion. Et bien évidemment, sous le sceau du secret pour les deux Zorya. Après tout, leurs deux potentiels joints, pourraient leur servir contre leurs ennemis bien plus zélés. Dorian finit par accepter, après usure, bien qu’il ne cesse de répéter à son ami d’en faire part à ses deux femmes. Mais celui-ci noie le poisson, prétextant ne pas avoir encore trouvé le bon moment. Surtout après se qui était arrivé à Tony. Sa disparition, lors de l’attentat qui avait secoué Philadelphie, les avait assez ébranlé, Mercy et lui, pour ne pas rajouter de l’huile sur le feu.
Et si Cecil avait pleinement conscience que c’était sa témérité, qui l’avait tué la première fois, le Dieu ne pouvait que s’imaginer que ses chères femmes, pourraient éprouver un certain plaisir à lui infliger sa prochaine mort, si elles venaient à découvrir le pot aux roses. Comme, on dit : jamais deux sans trois. Mais aussi brave qu’il puisse être, Myesyats n’était pas prêt à tester cette expression !

Note du staff
Très belle fiche avec beaucoup de détails sur le trou béant laissé par l'absence des deux sœurs J'ai hâte de voir votre trouple trio évoluer irp. En attendant, une fois de plus bienvenue !

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