♆Sois belle, il paiera ♦ ft Kendall McLight Mer 18 Sep 2019 - 0:35
Sois belle, il paiera
Kendall && Nora
Caresse sur mes lèvres, le pinceau glisse lentement. Un rosé un peu brillant mais pas trop voyant. Les yeux charbonneux, je suis presque prête. Une robe ornée de dentelles délicates repose sur le lit de cette chambre d’hôtel. J’observe mon reflet et j’essaie de garder toute constance. Au travers de mes lèvres légèrement entrouvertes je laisse échapper un soupir. « Il va falloir assurer ce soir. » Paroles d’encouragement, inutiles, je n’ai pas vraiment le choix. J’étais entrée dans ce casino dans l’espoir de trouver une place de femme de chambre mais c’est un tout autre rôle que l’on ma proposé.
Je quitte la salle de bain pour me diriger dans la chambre, les dentelles noires sont magnifiques. Je n’ai pas porté cette robe depuis des années, je n’ai pas ressenti le besoin de plaire à ce point depuis bien longtemps. Plaire ? Est-ce réellement une histoire de séduction ? Le client doit aimer ce qu’il voit. Cette phrase tourne en boucle dans mon esprit. Je n’ai pas de doutes sur ma plastique, j’en ai plus sur mon tempérament. Je ne suis pas femme à se taire ou à accepter d’être traitée comme une femme objet et pourtant ce soir, cette nuit c’est bien ce que je serai.
Sortant de l’ascenseur les regards se braquent sur moi. Ma tenue laisse peu de place à l’imagination et pourtant tout est en sobriété. Hors de question pour moi de ressembler à ces prostituées que l’on croise au coin d’une rue. Un homme en costume noir me fait signe, je le suis sans discuter. « Ton client n’est pas n’importe qui, ne fais pas de gaffe. » Nous marchons pendant qu’il me parle et il ne me regarde pas, j’essaie de ne pas trébucher avec mes talons aiguilles, encore une chose que je n’ai pas porté depuis des années.
Un deuxième homme nous rejoint. Il me jauge de la tête aux pieds et déclare « Hmm. Ça ira. » J’arque un sourcil, ne sachant pas très bien comment prendre la chose. « Merci. » Le mot sort malgré moi. « Monsieur McLight ! » Le deuxième homme insiste sur chaque syllabe, à son ton faussement enjoué, j’en conclus que ce McLight doit être le client. Je fais un pas de côté pour que nous puissions nous voir et mon cœur fait un bond dans ma poitrine. « Je vous présente Nora, elle vous tiendra compagnie pour la soirée. » Immobile il m’est impossible de réagir quelques secondes durant. Son visage … hantée par ce fantôme que je n’avais vu qu’une fois, impossible de l’oublier. « Bonsoir. » Articulais-je difficilement.
Âge et date de naissance : 34 ans d'apparence. Né un 16 août au 3e siècle avant J.C Métier/occupation : Généticien-consultant pour la police scientifique/Musicien dans un petit groupe celte à ses heures perdues Cible touchée par Cupidon : Si cupidon frappe les hommes, il est également capable de piquer les fesses des dieux et leur insufler l'amour. Mais à défaut d'en avoir vu de toutes les couleurs, il aura tendance à privilégier l'amusement plutôt qu'une loyauté qui pourrait se montrer oppressante.
Panthéon d'origine : Panceltique Divinité incarnée : Lugh : Dieu de la lumière aux multiples arts dit le Polytechnicien : maître des arts et des sciences, de la magie, de l'artisanat et des combats. Alliance : Indépendant, neutre. Pouvoir(s) :
Médecine Dioscurique:
La médecine qui rassemble tous les savoirs des médecines divines, druidiques, alchimiques, magiques, contemporaines, etc. Capable de rendre possible l’impossible sur un être vivant ou divin.
Polytechnie:
L’art et la manière de créer n’importe quoi à partir d’un brin de lumière créée par le Samildanach et d’un peu d’imagination de sa part pour que celle-ci prenne une forme réelle mais il ne s'agit en réalité que d'une projection holographique à type de rayonnement lumineux. Cependant, ce pouvoir n'a qu'une projection à la vue de son utilisateur. Lugh ne pourra pas projeter des illusions à un endroit qu'il ne voit pas. S'il se concentre suffisamment l'hologramme peut sembler si réaliste que ça peut jouer sur le subconscient si l'esprit est faible, mais s'il y a le moindre obstacle qui coupe la lumière entre son créateur et la cible, l'hologramme se déforme et Lugh perd sa concentration.
Clarté omnipotente:
En utilisant la réflexion de la lumière naturelle, son corps entre en résonance avec les particules lumineuses pour augmenter sa vélocité à la vitesse de la lumière. En revanche, son pouvoir l'épuise si la lumière est amoindrie. À l'inverse, plus il aura de lumière plus l'utilisation de sa vélocité lui sera aisée et il n'aura pas d'affaiblissement pour l'utiliser.
Point faible :
Ar-éabdair & Dagda:
Ar-éabdair ou Gea Assail est sa lance magique fétiche en bois d'If, dotée d’une conscience pour qui il voue une allégeance absolue, cependant, cette lance est capricieuse et le pousse parfois à agir contre sa volonté et de manière obscure. Ar-éabdair peut également détruire sa conscience et tout ce qui se trouve autour d’elle s’il ne la plonge pas dans le chaudron du Dadga rempli de sang. Actuellement, il a trouvé la combine en la gardant dans un pendentif -créé exprès-; petite pointe d'or enfermée dans le chaudron miniaturisé en petite capsule de verre contenant du sang camouflé en un liquide carmin aux paillettes d’or. Tant qu’il l’a autour du cou, il ne risque rien, ni aucune destruction massive de cette lance capricieuse.
De plus, il est extrêmement sensible aux arts, dont la musique, et possède une oreille absolue, la moindre fausse note le dérange énormément et a tendance à le rendre instable au point d’en avoir des migraines et parfois des nausées. Il est également allergique à la connerie et déteste le langage grossier.
Ce casino n'est pas réputé pour rien. Si d'apparence il semble tout à fait ordinaire, il est en réalité dirigé par une divinité depuis le début du XX ème siècle. Il accueille aussi bien les divinités que les humains lambda et seuls quelques employés sont au courant car ils sont les disciples du directeur qui gère cette structure. Les autres viennent travailler comme à leur habitude en ne se doutant de rien et surveille toutes les personnes susceptibles de tricher. Si Kendall est du genre plutôt discret, il lui arrive également de profiter de quelques moments de folie. Jouer n'a jamais été son fort, mais des fois lui pousse une envie de faire quelques parties de poker ou de Black Jack. Juste pour le plaisir. Il sait que les dieux ont interdiction d'utiliser leurs dons à l'intérieur. La moindre utilisation de magie est lourdement réprimandée.
"Monsieur... Quel plaisir de vous revoir, cela faisait longtemps."
Au moins vingt ou trente ans en effet. Et je constate que l'hôte d'accueil n'a pas oublié ma frimousse. Son air stupéfait en dit long sur l'impression que j'avais donné les autres fois et rapidement.
"Toujours la même tête..."
En effet, et pas une ride depuis plus de deux mille ans. Je prends soin de moi comme il peut constater. Un sourire ourle mes lèvres et je réajuste ma veste de costume saillant parfaitement à ma morphologie et le noeud papillon qui orne mon cou. Un franc sourire charmeur.
« En effet Sir. J'aimerais prendre une escort girl et choisir vos candidates pour la soirée... »
Je ne suis pas venu par hasard ce soir. Au contraire tout est parfaitement calculé. L'hôte hoche la tête et suit du regard ma main qui glisse sur le comptoir avec de l'or ancien, celui qu'ils réutilisent sur Sanctum mais qui n'a absolument plus aucune valeur dans notre société actuelle. Mais cet argent possède un mot d'ordre et il comprend aisément ce qu'il signifie. Alors il m'emmène calmement dans la partie privée et me propose de commencer par boire quelque chose tout en me donnant un petit classeur avec les têtes des escort girl en me précisant celles qui étaient là ce soir. Bien évidemment je refuse pour l'instant le verre et feuillète les photos de l'album. Mon regard tombe sur la photo de Nora et je relève les yeux.
«Je prendrais celle-ci.»
Il semblait légèrement hésitant derrière son sourire crispé et dodelina du chef.
"Ma foi, cette jeune femme est nouvelle, nous n'avons pas encore eut l'occasion de juger de ses compétences"
Je hochais la tête, mine dubitative.
«C'est parfait !»
"Ha... Bon... Très bien..."
Il n'avait pas l'air emballé mais je m'en moquais pas mal. En réalité je savais ce que je faisais, et évidemment je comptais bien passer la soirée en compagnie de cette agréable jeune femme. Alors j'attendis patiemment en tournant un peu sur les différents cadres de la pièce jusqu'à ce que l'hôte m'appelle. Me déplaçant alors calmement jusqu'à eux, je vis se décaler Nora, vêtue d'une robe qui lui allait à merveille. Un sourire se dessina sur mon visage, tendre et mon regard bleu azur ne quittait plus le regard de la jeune femme.
«Bonsoir~.»
Le personnel du casino pris congé, non sans un dernier mot à la jeune femme probablement pour lui dire de se tenir correctement en ma présence. Mais je ne m'en formalisais pas. Je tendais mon bras une fois tous les deux seuls afin qu'elle le prenne et hochais la tête calmement.
«Il faisait longtemps que nous ne nous étions pas vus, Nora. Comment va le moral ? »
Commençons doucement histoire d'avoir un peu ses réactions et de l'emmener s'installer à une table pour boire un verre avant de commencer d'éventuels jeux d'argent.
«Je vous offre à boire, prenez ce qui vous plaira.»
Invité
♆Re: Sois belle, il paiera ♦ ft Kendall McLight Dim 6 Oct 2019 - 22:53
Sois belle, il paiera
Kendall && Nora
Le souffle court je ne détourne mon regard charbon du sien que pour baisser les yeux un instant. « Ne fais pas de gaffe ! » Avertissement subtilement lancé par celui qui m’a déjà mis en garde un peu plus tôt. Une fois les deux hommes éloignés, mes pupilles viennent se raccrocher à celles de l’homme ayant loué mes services pour la soirée. Je déglutis difficilement, crispe la mâchoire sans y penser et prends le bras qu’il me tend. Mes gestes me portent malgré moi, ébranlée par sa simple présence. Sa voix se fait douce à l’instar du regard qu’il porta sur moi auparavant. Sa question me fait me tendre immédiatement, me souvenant alors du notre première et dernière rencontre … l’enterrement … Je baisse les yeux à nouveau puis dirige mon regard vers le reste de la salle. « Parfaitement bien. » Mensonge. Je suis dévastée.
Nous poursuivons notre promenade au cœur du casino, les regards se retournent sur nous. Des murmures ici et là. En d’autres circonstances j’aurais peut-être pu imaginer que nous ferions un beau couple. Élancés, grands et beaux, j’entends également des réflexions de jalousie mais je n’y prête pas attention, je préfère me concentrer sur mes pas, trébucher ne ferait pas très bel effet au bras du client. Je le regarde à présent, arborant un sourire faussement serein. « Merci de poser la question. C’est une surprise de se croiser ici. » J’essaie tant bien que mal de conserver toute contenance mais honnêtement … je ne suis qu’une pute bien habillée ce soir. J’ai beau vouloir me donner un air supérieur, parler comme une personne bien élevée, je ne suis qu’un trophée qu’on affiche aux tables de jeux.
Il vient à me proposer un verre. Je dois avouer que j’aurais volontiers sauté sur une vodka mais paroles du proxénète me reviennent en mémoire. « Ne bois pas d’alcool, tu ne dois jamais être ivre. » Alors que les sons s’apprêtent à sortir de ma bouche, j’ai une hésitation, puis je finis par dire : « Une eau gazeuse, merci. » Mon regard parcourt maintenant le visage de mon compagnon de la soirée. Chacun de ses traits semble si parfait, comme si le temps n’avait aucune emprise sur lui. J’en viens à me demander quel âge il pouvait bien avoir et surtout comment avait-il fait la rencontre de Caleb. « Comment l’aviez-vous rencontré ? » Saura-t-il seulement de qui je parler ? Les mots m’échappent, je n’arrive à détourner mes pupilles de lui. Je ne devrais pas parler de ça ce soir, mais si j’ai la moindre chance d’entendre parler de mon frère, c’est un risque à prendre. Ce McLight et moi n’avions que peu discuté lors des funérailles, il était venu me présenter ses condoléances et je l’avais perdu de vu. Ce soir je voulais en savoir plus. J’en oubliais presque ma qualité d’Escort à ce moment-là.
Âge et date de naissance : 34 ans d'apparence. Né un 16 août au 3e siècle avant J.C Métier/occupation : Généticien-consultant pour la police scientifique/Musicien dans un petit groupe celte à ses heures perdues Cible touchée par Cupidon : Si cupidon frappe les hommes, il est également capable de piquer les fesses des dieux et leur insufler l'amour. Mais à défaut d'en avoir vu de toutes les couleurs, il aura tendance à privilégier l'amusement plutôt qu'une loyauté qui pourrait se montrer oppressante.
Panthéon d'origine : Panceltique Divinité incarnée : Lugh : Dieu de la lumière aux multiples arts dit le Polytechnicien : maître des arts et des sciences, de la magie, de l'artisanat et des combats. Alliance : Indépendant, neutre. Pouvoir(s) :
Médecine Dioscurique:
La médecine qui rassemble tous les savoirs des médecines divines, druidiques, alchimiques, magiques, contemporaines, etc. Capable de rendre possible l’impossible sur un être vivant ou divin.
Polytechnie:
L’art et la manière de créer n’importe quoi à partir d’un brin de lumière créée par le Samildanach et d’un peu d’imagination de sa part pour que celle-ci prenne une forme réelle mais il ne s'agit en réalité que d'une projection holographique à type de rayonnement lumineux. Cependant, ce pouvoir n'a qu'une projection à la vue de son utilisateur. Lugh ne pourra pas projeter des illusions à un endroit qu'il ne voit pas. S'il se concentre suffisamment l'hologramme peut sembler si réaliste que ça peut jouer sur le subconscient si l'esprit est faible, mais s'il y a le moindre obstacle qui coupe la lumière entre son créateur et la cible, l'hologramme se déforme et Lugh perd sa concentration.
Clarté omnipotente:
En utilisant la réflexion de la lumière naturelle, son corps entre en résonance avec les particules lumineuses pour augmenter sa vélocité à la vitesse de la lumière. En revanche, son pouvoir l'épuise si la lumière est amoindrie. À l'inverse, plus il aura de lumière plus l'utilisation de sa vélocité lui sera aisée et il n'aura pas d'affaiblissement pour l'utiliser.
Point faible :
Ar-éabdair & Dagda:
Ar-éabdair ou Gea Assail est sa lance magique fétiche en bois d'If, dotée d’une conscience pour qui il voue une allégeance absolue, cependant, cette lance est capricieuse et le pousse parfois à agir contre sa volonté et de manière obscure. Ar-éabdair peut également détruire sa conscience et tout ce qui se trouve autour d’elle s’il ne la plonge pas dans le chaudron du Dadga rempli de sang. Actuellement, il a trouvé la combine en la gardant dans un pendentif -créé exprès-; petite pointe d'or enfermée dans le chaudron miniaturisé en petite capsule de verre contenant du sang camouflé en un liquide carmin aux paillettes d’or. Tant qu’il l’a autour du cou, il ne risque rien, ni aucune destruction massive de cette lance capricieuse.
De plus, il est extrêmement sensible aux arts, dont la musique, et possède une oreille absolue, la moindre fausse note le dérange énormément et a tendance à le rendre instable au point d’en avoir des migraines et parfois des nausées. Il est également allergique à la connerie et déteste le langage grossier.
Quel beau mensonge ! Je ne dirais pas qu'elle va parfaitement bien, la mort de son frère est encore toute fraîche alors, je doute que ce soit réellement le cas. Sans parler que son travail actuel n'a pas l'air de lui convenir... En fait je me demande même si c'est simplement pour tenter de s'en sortir avec n'importe quel travail qui lui passera sous la main qu'elle se retrouve ici. Lui offrant mon bras, nous traversions le casino pour aller nous installer aux tables du resto-bar. Je ne prenais pas garde aux regards, saluant toutefois quelques divinités que je reconnaissais d'un simple regard accompagné d'un signe de tête.
«C'est normal après ce que vous avez vécu de tragique. C'est une perte extrêmement douloureuse... Et vous avez dû braver les épreuves avec ce poids constant sur les épaules. C'est un plaisir de vous revoir, même en ces lieux.»
Un simple sourire, très bref, mais contrit. Je comprenais et je ressentais sans mal cette peine de coeur. La mort de son frère est un lourd fardeau, encore plus avec une âme soeur. Il a voulu la sauver et lui permettre de vivre plus longtemps... Le sort est parfois cruel.
Je m'installe, l'accueil à mes côtés et commander ce qu'elle désir. Je m'adosse à la banquette en lui adressant un regard étonné.
« Vous êtes certaine de ne pas avoir envie d'autre chose ? Un cocktail de fruit, ou autre ? »
Je sais pertinemment que les demoiselles de compagnie n'ont pas le droit de boire, mais personnellement je n'aurais rien contre justement. Après je ne veux pas non plus la faire virer... Surtout pour sa première impression. J'attends un instant qu'elle se décide, puis me préoccupe de la commande pour revenir à elle quand sa question quitte ses lèvres légèrement rosées. Un maquillage léger et pas trop pot de peinture, juste ce qu'il faut pour mettre en valeur son regard. Un sourire triste dessina cependant mes lèvres en comprenant de qui elle parlait. J'entrouvre les lèvres et les referme. Détournant un peu le visage pour ensuite le mettre en appui contre ma main accoudée à la banquette. Je la regarde silencieusement un instant, laisse le serveur arriver avec les boissons et je le remercie. Puis je reviens sur le fil de la conversation.
Comment ne pas me souvenir de cette rencontre. Il était encore jeune, je ne sais plus trop comment nous sommes parvenus à discuter et boire un verre ensemble. Le bon vieux temps, ça me rend nostalgique. Et y repenser me donne une mine plus sérieuse.
« Caleb était un jeune homme plein de volonté, et d'ambitions pour son avenir. Non, je dirais pour vous, car il me parlait souvent de vous. »
Je ne sais pas si la vérité lui plaira mais je dois tout de même le lui dire. Je n'ai aucune intention d'être fourbe et de lui cacher des choses, de plus, j'ai toujours agi avec franchise. Je plongeais mon regard dans le sien pour continuer de lui parler, récupérant mon verre entre mes doigts.
« Nous étions amants, si l'on peut dire, avant qu'il ne se fasse jeter par vos parents, puis, je l'ai retrouvé par hasard dans un restaurant où il était serveur. Alors qu'il ne m'avait plus donné de nouvelles... Nous avons fini par renouer contact après quelques explications. »
Déjà, je laissais un blanc afin qu'elle comprenne la situation. Et j'espérais qu'elle ne m'en veuille pas pour son frère. Vis à vis de ses parents et du fait qu'ils l'aient rejeté. Je baissais les épaules et baissais les yeux sur mon verre puis buvais une gorgée de whisky. Attendant d'autres questions ou même une quelconque réaction de sa part.
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